Texte et mise en scène Théo Askolovitch
Collaboration artistique Marilou Aussilloux
Avec Théo Askolovitch, Marilou Aussilloux, Serge Avédikian
L’écriture de Théo Askolovitch évolue entre humour et tragique. Il décrit la vie telle qu’il la connaît, avec un sourire. Après 66 jours, monologue sur le combat d’un jeune homme face au cancer créé à Théâtre Ouvert, Théo Askolovitch poursuit son travail sur le thème de la réparation. Zoé [et maintenant les vivants] aborde le sujet du deuil, de la relation que l’on entretient avec les mort·e·s, et avec celles·ceux qui restent.
Dix ans après la perte d’un être cher, le père, la fille et le fils nous racontent avec délicatesse les étapes de leur reconstruction. Il·elle·s se rappellent l’annonce, l’enterrement, les rites religieux, puis la vie d’après et dressent le portrait intime d’une famille qui résonne en chacun·e de nous.
REVUE DE PRESSE
L’Humanité : « L’écriture de Théo Askolovitch est nerveuse, directe, à fleur de peau. Les échanges fusent comme autant de phrases-chocs qui provoquent des étincelles, et parfois, des rires. […] toutes ces scènes témoignent d’un humour salvateur. Et d’une immense pudeur. »
TT dans Télérama : « Reprenant la brèche autobiographiuqe qu’il avait ouverte avec 66 jours, Théo Askolovtich s’empare avec douceur, de l’épineuse question de la réparation. […] Le trio sensible qu’il interprète sans prétention avec Serge Avédikian et Marilou Aussilloux (en alternance avec Maïka Louakairim) atteint son but, celui de trouver un écho, sans verser dans le pathos, dans l’esprit et le coeur des vivants qui lui font face. »
Scèneweb : Le bonheur est dans l’après : « Théo Askolowitch aura développé un récit impeccablement équilibré, échappant à la fois « au pathos et au potache », comme il l’écrit, balançant entre langue du quotidien et un style plus littéraire, passant souplement de l’adresse type frontale à la représentation théâtrale, le tout en aller retours du passé à aujourd’hui, du récit au présent de la scène et de l’envie de rire à celle de pleurer. Indéniablement, un style s’impose ici, une écriture, particulière, qui ouvre le champ au parler contemporain sans s’en contenter, et à travers elle une sensibilité, une manière de sourire au malheur qui tient à égale distance le cynisme et le gnangnan. »
La représentation est à 18h00