Chacun s'occupe de sa réservation.
Les Mozart, Berlioz, Verdi, Fauré et consorts auront tous écrit leur messe des morts en latin, héritage de la sacro-sainte tradition grégorienne. Tous ? Presque. C’est dans sa langue maternelle que Brahms compose la sienne, sur des textes de la Bible de Luther. Si les premières idées lui viennent après la mort de Schumann, son mentor, il faut la disparition de sa mère, neuf ans plus tard, pour que le travail reprenne. Les larmes du deuil n’empêchent pas l’ode funèbre de délivrer des mots d’espoir : « Bienheureux ceux qui souffrent car ils seront consolés », commenceront par dire les voix de Notre-Dame soutenues par Claire Désert et Tanguy de Williencourt. Mieux que de ne s’adresser qu’à Dieu, Johannes réconforte les vivants. Un requiem à hauteur d’Homme.
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