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Sortie n° 21850801, créée le 05 02 2023
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Organisateur
Date de la sortie
Heure de début
Vendredi 10 Décembre 2027

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
L'heure de la sortie
17:00
Descriptif de la sortie

en cours de rédaction 

 

support un livre

 

nous nous poserons dans un café

Et sur le chemin, quelqu’un apprend…

Quelqu’un apprend particulièrement sur ce qui est douloureux, et au bout du compte, peut causer de la souffrance. Lorsque nous entrons en contact avec la douleur la plus bouleversante, nous prenons conscience de notre fragilité en même temps que nous vivons une situation, qui nous permet comme aucune autre, de connaitre notre grandeur. Notre valeur.

C’est sur le chemin ou l’un apprend que tout change et que sortira toujours le soleil après un ciel nuageux, avec la beauté et la force de nouveaux levers de soleil. C’est à ce moment que nous découvrons la force qui habite notre intérieur, en dépassant le chemin douloureux et l’inertie qui nous a poussé à traverser ce chemin.

 

 

 


« Cherche un lieu en toi où se trouve de la joie, et cette joie gommera la douleur. »

-Joseph Campbell-


C’est qu’en réalité, rien n’a le pouvoir de nous rendre miséreux, excepté notre propre attitude. Selon le psychothérapeute Joan Garriga, n’importe quelle perte peut se convertir en une opportunité pour grandir en tant que personne, pour nous rendre plus léger-ère-s et pour se libérer de nos attaches et identifications.

En outre, le grand risque des processus douloureux est de ne pas les surpasser et de s’installer en positions existentielles alimentant la souffrance : la plainte, la victimisation, la vengeance, la rigidité, la fierté… En ce sens, il faut signaler que la douleur est un processus inhérent à l’existence et il est important pour croire et comprendre cela d’y participer de manière plus enrichissante.

 

 

 

 

 

 

Quel est le contraire de la souffrance ?

Neuf personnes sur dix répondront « le plaisir ». Faux. Le vrai contraire de la souffrance c’est « l’absence de souffrance » - à savoir, le confort. Et même si le confort peut être très agréable, il ne constitue pas pour autant le plaisir ultime. Celui qui dans sa vie n’aurait pour unique objectif que la poursuite du confort ne récolterait que déception, car passer sa vie à éviter et à contourner la souffrance est une façon aussi de passer à côté des plaisirs les plus sublimes.

Même si on a tendance à  vouloir réduire la souffrance au minimum, il n’en demeure pas moins que celle-ci reste incontournable. La vie est faite de hauts et de bas. Dès lors, si on veut réussir dans la vie, la solution n’est pas d’éliminer totalement la souffrance (car cela est impossible), mais plutôt d’apprendre à la comprendre et à l’accepter.

La Voie 25 est appelée kabalat ha’issourim, qui signifie littéralement « accepter la souffrance ». Les 48 Voies disent : « La souffrance est le prix à payer pour obtenir le plaisir. Tous les plaisirs durables de la vie, à savoir, les bonnes relations sociales, les carrières réussies, la recherche du sens (de la vie) nécessitent beaucoup d’efforts. Ce que nous appelons « souffrance » est très souvent une question d’ « effort. » L’effort qui nous permet de rester en forme, de penser à une idée complexe ne se fait pas sans douleur ni souffrance. Il en va de même lorsqu’il s’agit de construire une relation durable avec autrui. Dès lors, même si l’effort engendre de la souffrance, on ne peut y échapper.

Celui qui aspire à vivre une vie facile, sans douleur, sans souffrance, passe à côté des plaisirs réels et incommensurables.

UN EXEMPLE DE LA DUALITE « SOUFFRANCE-PLAISIR »

Le vrai plaisir est inséparable de la souffrance. En voici un exemple :

-A votre avis, quelle est la vraie source de plaisir pour vos parents ?

-Vous, bien sûr.

-Et la source de leur plus grande peine?

-Même réponse : vous.

Ce n’est pas un pur hasard si le plus grand plaisir de vos parents se confond aussi avec leur plus grande peine. Tout simplement parce que plus le plaisir est grand, plus la difficulté est importante. Plus on prendra de la peine pour atteindre un but, plus grande sera la joie lorsqu’on l’aura atteint. On appréciera d’autant plus une chose qu’on l’aura payée à un prix fort.

La poursuite des plaisirs entraîne la décadence. Lorsqu’une société toute entière considère les plaisirs comme la priorité des priorités, elle est dès lors en danger. L’Empire Romain s’est effondré à cause de la décadence ; les Romains baignaient dans le luxe et les plaisirs. Le taux bas de natalité du monde occidental est le signe de la décadence contemporaine.

Quand je demande à des jeunes combien d’enfants ils veulent avoir, ils me répondent « deux ! »

« Pourquoi si peu ? » 

« Parce que j’aime les enfants et je veux leur donner tout le bien-être. On aura du mal à envoyer deux enfants à l’Université, à plus forte raison cinq. Et les habits ? Et le centre aéré ? Avec deux, c’est faisable, mais avec cinq ?

 

 

LA PEUR DE LA SOUFFRANCE

Il arrive souvent que la peur de la souffrance soit pire que la souffrance même. Une piqûre dure une seconde, mais on peut passer des heures à en anticiper la douleur. Avoir peur de la douleur, c’est s’imposer des restrictions. Si vous avez peur de voyager, vous n’irez nulle part. Si vous avez peur des efforts physiques ou d’une émotion trop forte, vous n’accomplirez rien, vous n’évoluerez pas et vous ne trouverez pas la vérité.

Nous sommes tous confrontés  à un choix : soit de prendre le risque douloureux d’essayer, soit de souffrir du fait que l’on est trop faible pour essayer.

Par exemple : si vous ne postulez pas pour un emploi, vous évitez ainsi le stress douloureux d’un éventuel refus. Mais vous souffrirez d’être un poltron le reste de votre vie. Et vous serez toujours hanté par ce sentiment. Pourquoi un homme choisit-il de se suicider ? Quelle est sa réelle motivation quand il décide de prendre un revolver pour mettre fin à ses jours ? Son refus de la souffrance. Sa volonté d’échapper à la douleur. Selon les mots de Shakespeare : « être ou ne pas être, telle est la question », soit de résister à la tourmente de la mauvaise fortune, soit d’en finir une fois pour toutes avec notre funeste destin. C’est exactement ce que cet homme recherche : la fuite dans un sommeil éternel.

Pour vous aider à faire face aux situations difficiles, rappelez-vous : « La douleur est éphémère, les résultats sont durables. » En réalité, la souffrance et la douleur sont souvent le seuil de la porte qui nous donne accès au monde du plaisir. Prenons l’exemple du dentiste. Le plombage prend une heure, et la douleur va continuer pendant deux heures. Mais ce plombage va empêcher une autre carie et vous pourrez manger tranquillement pendant des années.

 

 

LA PEUR DE LA REALITE

Ce dont les gens ont le plus peur et qu’ils ont le plus de mal à surmonter, c’est la peur d’affronter la réalité. Les gens préfèrent vivre dans l’illusion que de faire face à la réalité. Pourquoi ? Parce que si la réalité s’avère être différente de celle à laquelle ils étaient habitués jusque-là, cela veut dire qu’il va falloir changer leurs habitudes. Et cela n’est pas une chose évidente à faire ! Nous avons tous tendance à nous soustraire aux efforts nécessaires pour réaliser les ambitions et les objectifs que l’on s’est fixés dans la vie.

Nous avons tous des désirs de grandeur, des velléités de changer le monde. Le problème, c’est que nous n’avons pas toujours envie de nous investir. Dès lors, nous oublions qui nous sommes réellement et ce que nous avons envie de réaliser.

 

«  cela fait encore plus mal d’être acculé à la réalité, et particulièrement quand il est trop tard pour faire quelque chose ».

Posez-vous toujours la question : « au juste, quelle douleur je cherche à éviter ? »  Identifiez exactement la chose dont vous avez peur. Puis raisonnez : qu’est-ce qui pourrait arriver de pire ?

Comme exercice, faites une liste des objectifs que vous voudriez réaliser en écartant d’emblée la possibilité d’une quelconque souffrance liée à la réalisation de ces objectifs. Ensuite, à côté de chaque objectif, anticipez la dose de douleur ou de souffrance que vous aurez à éprouver en essayant d’atteindre ces objectifs.

Puis, dites pourquoi tel ou tel objectif vaut la peine de s’investir. Comparez les deux colonnes. Si un objectif particulier en vaut la peine, alors vous verrez tout de suite à quel point la peur de souffrir vous empêche de réaliser cet objectif. Vous prendrez alors conscience que vous êtes prêt à payer le prix de la souffrance pour arriver à vos fins.

 

 

La meilleure façon de se débarrasser de la souffrance, c’est de l’oublier et de se concentrer sur le plaisir.

On pourrait croire que la souffrance et le plaisir ne peuvent pas coexister simultanément, et qu’au moment où l’on ressent de la douleur, on ne peut pas en même temps ressentir du plaisir. Faux ! Si, même au moment où l’on peut éprouver du plaisir, on se concentre sur la douleur, alors on devient hermétique au plaisir.

Autrement dit, il suffit de changer de zoom pour changer d’état d’esprit, pour passer de la douleur à la joie et inversement.

Imaginez une équipe de joueurs de basket-ball, courant sur la piste et se poussant pour marquer un panier. Sont-ils conscients des efforts qu’ils sont en train de faire ? A peine. Le plaisir de jouer et de marquer des points occulte les efforts qu’ils déploient pour gagner.

Or, que se passerait-il si vous leur demandiez de faire l’expérience suivante : « Jouez au basket-ball normalement, courez, sautez, marquez et protégez votre défense. Mais cette fois, faites le sans le ballon ! » Combien de temps pensez-vous qu’ils pourront jouer ? Peut-être cinq minutes. Parce que sans le ballon, ils ne ressentent pas le vrai plaisir du jeu qui leur fait oublier leurs efforts. Chaque pas qu’ils font représente un grand effort physique. Redonnez leur le ballon et vous verrez qu’ils vont jouer pendant deux heures !

 

 

 

 

 ne quittez pas le ballon des yeux ! Si vous voulez être au top de la vie, alors vous devez être disposés à apprendre tout sur la vie. Vous allez pouvoir vous concentrer et transformer chaque effort en un doux plaisir.

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