Juste envie de faire partager le poème d'un ami  (perdu de vue à regret) qui me semble en parfait accord avec mon  etat d'esrpit                         'simplicité curiosité optimisme )                            

La page blanche

 Ces on-dit ne cessent de vous rattraper 

Votre vie est une page blanche à combler

Un terrain vierge  où l'avenir est à dessiner

Un champ où vos rèves doivent être semés 

Cela  fait parti des bases qui nous sont imposées

Aucune autre issue possible, il faudra s'y atteler.

Prendre en main la plume, le pinceau ou le stylo.

Verser son sang, pour y ecrire son propre scenario.

Il nous faut donc souiller ce qui est immaculé.

Amener la noirceur, là où n'était que luminosité.

Casser un lieu de douceur, voilaà un injuste sacrifice,

Pour voir me direz vous ? l'image de nos vices ? 

Donc l'homme met tout son coeur à la tache.

Il noirci sa page, inconsciemment s'y attache.

De vouloir remplir tant d'espace, il ne reste rien.

On s'y retrouve bloqué, de l'encre plein les mains.

On ne peut plus rien y apporter, peut être faut il la tourner ?

Alors tout devra recommencer, triste manège désenchanté

Car tous n'auront pas eu la chance d'illustrer la bonne aventure

Leurs traits ne seront que pactes diaboliqus et amères souillures.

Le résultat sera fade, bien loin de ce qui avait été convenu.

Impossible de tout effacer. Une vie à jeter, à mettre au rebut.

Cette page est donc une prison enfermant nos brillants espoirs.

Il fallait s'y attendre. Qui donc peut symboliser ses rèves en noir ?

Un enfant qui nait est un roman vierge, attendant une préface.

Il a encore ce que beaucoup ont perdu, il n'a subit aucune trace.

Bien heureux celui qui subira la douce malediction de l'écrivain.

Syndrome de la page blance, qui laisse de l'espoir pour demain .

Nohell