De 1860 à 1960, la physionomie des deux rives de la Seine est en constante évolution au gré des activités artisanales et commercialesu
Ajourd’hui, les vélos et les piétons ont remplacé les voitures sur les berges du fleuve, mais au tournant du XXe siècle on y croisait plus volontiers des perruquiers ambulants, des tondeurs de chiens, des vachers qui vendaient du lait fraichement trait et des matelassières qui rebattaient la laine des matelas, pendant que les cochers venaient laver et abreuver leurs chevaux.
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