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Sortie n° 22523301, créée le 29 12 2023
N. de staël et d. schutz @mam
#Musée - Expo
Vidéo de la sortie
Organisateur
 Inaha

Date de la sortie
Heure de début
Vendredi 19 Janvier 2024

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
10:15 (du matin) (H-4)
14:15
Descriptif de la sortie

 

2 Expos au MAM prenez un billet combiné. La réservation à l'avance est recommandée !

 

 

Nicolas de Staël

 

15 septembre 2023 au 21 janvier 2024

 

 

et

 

Dana Schutz

Le monde visible

 

 

 

 au

 

Musée d'Art Moderne

 

 

 

 

1. Nicolas de Staël

 

 
 
Le Musée d’Art Moderne de Paris consacre une grande rétrospective à Nicolas de Staël (1914-1955), la première en France depuis vingt ans.
 

 

La rétrospective rassemble une sélection d’environ 200 tableaux, dessins, gravures et carnets venus de nombreuses collections publiques et privées, en Europe et aux États-Unis. À côté de chefs-d’œuvre emblématiques tels que le Parc des Princes, elle présente un ensemble important d’œuvres rarement, sinon jamais, exposées, dont une cinquantaine montrées pour la première fois dans un musée français.

Organisée de manière chronologique, l’exposition retrace les évolutions successives de l’artiste, depuis ses premiers pas figuratifs et ses toiles sombres et matiérées des années 1940, jusqu’à ses tableaux peints à la veille de sa mort prématurée en 1955. Si l’essentiel de son travail tient en une douzaine d’années, Staël ne cesse de se renouveler et d’explorer de nouvelles voies : son « inévitable besoin de tout casser quand la machine semble tourner trop rond » le conduit à produire une œuvre remarquablement riche et complexe, « sans esthétique a priori ». Insensible aux modes comme aux querelles de son temps, son travail bouleverse délibérément la distinction entre abstraction et figuration, et apparaît comme la poursuite, menée dans l’urgence, d’un art toujours plus dense et concis : « c’est si triste sans tableaux la vie que je fonce tant que je peux », écrivait-il.

La rétrospective permet de suivre pas à pas cette quête picturale d’une rare intensité, en commençant par ses voyages de jeunesse et ses premières années parisiennes, puis en évoquant son installation dans le Vaucluse, son fameux voyage en Sicile en 1953, et enfin ses derniers mois à Antibes, dans un atelier face à la mer.

La vie de Staël a d’emblée créé un mythe autour de son art : de son exil après la Révolution russe jusqu’à son suicide tragique à l’âge de 41 ans, la vie du peintre n’a cessé d’influer sur la compréhension de son œuvre. Sans négliger cette dimension mythique, la rétrospective entend rester au plus près des recherches graphiques et picturales de Staël, afin de montrer avant tout un peintre au travail, que ce soit face au paysage ou dans le silence de l’atelier. Enfant exilé devenu voyageur infatigable, l’artiste est fasciné par les spectacles du monde et leurs différentes lumières, qu’il se confronte à la mer, à un match de football, ou à un fruit posé sur une table. Variant inlassablement les outils, les techniques et les formats (du tableautin à la composition monumentale), Staël aime « mettre en chantier » plusieurs toiles en parallèle, les travaillant par superpositions et altérations successives. Le dessin joue, dans cette exploration, un rôle prépondérant dont une riche sélection d’œuvres sur papier souligne le caractère expérimental.

Un extrait du documentaire Nicolas de Staël, La peinture à vif de François Lévy-Kuentz, co-écrit avec Stéphane Lambert et Stéphan Lévy-Kuentz et coproduit par Martin Laurent (Temps Noir) et ARTE France, est présenté en permanence dans les salles de l’exposition et diffusé dans son intégralité sur ARTE le 24 septembre 2023.

Le catalogue de l’exposition permet d’approfondir encore la connaissance du travail du peintre, grâce à des textes sur sa relation aux maîtres du passé et à son contemporain Georges Braque, ou encore son rapport au paysage et à la nature morte. L'ouvrage contient également un entretien des commissaires avec Anne de Staël, fille aînée de l’artiste, ainsi que le texte intégral et inédit du « Journal des années Staël » de Pierre Lecuire, écrivain, éditeur et ami proche de Staël.

L’exposition Nicolas de Staël est organisée par le Musée d'Art Moderne de Paris en étroite collaboration avec la Fondation de l’Hermitage à Lausanne, où elle sera présentée du 9 février au 9 juin 2024.

 

Avec le soutien d'ING, Linklaters et Perella Weinberg Partners.

 

 

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2. Dana Schutz

 

 

 

 

 

 

 

Le Musée d’Art Moderne de Paris accueille l’exposition "Dana Schutz, Le monde visible" du 6 octobre 2023 au 11 févier 2024. C'est la première fois que le travail de cette artiste américaine de renommée internationale est montré en France avec une telle ampleur.

 

Dana Schutz. Le monde visible présente une quarantaine de peintures réalisées depuis le début des années 2000, ainsi qu’une vingtaine de dessins et de gravures, et sept sculptures.

Dana Schutz est une conteuse. Son oeuvre construit un univers de personnages turbulents, de folie humaine, de situations calamiteuses et de désastres physiques. Elle dresse un portrait dystopique du monde actuel, détaché des notions traditionnelles de beauté. Avec un usage virtuose de lacouleur, elle a mis en place au fil des années un sens de la tension dramatique qui se révèle dans ses compositions complexes. Ses peintures montrent des scènes imaginaires, inspirées par des situations hypothétiques et des corps improbables, mêlés à la vie et au langage contemporains.

L’exposition donne à voir les thématiques qui traversent cette oeuvre : des sujets intangibles souvent observés avec humour ; l’artiste au travail dans son atelier ; la transformation et la construction de soi ; les tensions entre l’individu et le groupe.

Au cours des années récentes, Schutz a intégré la sculpture à sa pratique, prolongeant ses gestes et ses formes dans la glaise. Comme une boucle, le sujet de la sculpture se retrouve dès ses premières toiles. Récemment, ses peintures traduisent davantage les volumes, et sont de plus en plus allégoriques. Elles sont peuplées de groupes de personnages colorés qui semblent flotter dans la nuit, perchés sur une île d’os de mâchoires, ou luttant pour rester au sommet d’une montagne.

Ces visions d’un monde postapocalyptique sont marquées par son regard sur l’histoire de l’art, de Brueghel à Alice Neel. Elles évoquent l’obsolescence d’un monde malade, la vanité des mythologies contemporaines, et l’incommunicabilité entre les êtres. Emprunté à un tableau du même nom, le titre de l’exposition, Le monde visible, est à la fois une proposition et une contradiction — donnant à voir l’informe et l’imaginaire.

L’exposition Dana Schutz. Le monde visible est organisée par le Musée d’Art Moderne de Paris en partenariat avec leLouisiana Museum of Modern Art de Humlebæk (Danemark).

Dana Schutz est née en 1976 à Livonia (Michigan). Elle vit et travaille à Brooklyn, New York.

 

 

 

Plus d'information et réservation : ICI

 

 

 

Au plaisir de visiter ces 2 expositions intéressantes avec vous !

 

 

 

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