A Pékin, Capucine redonnait vie à de vieilles portes destinées aux encombrants. Elle y peignait des visages qu’ elle faisait apparaître entre les veines du bois. Sa banque d’images venait de photos noir et blanc chinées aux puces. Son travail évolue vers d’autres supports de récupération comme le métal, le verre, les tissus… Aujourd’hui, sa banque d’image a dû s’adapter à ces nouveaux supports. Les portraits en ligne sur les applications de rencontre lui ont permis de parler d’un monde qui nous entoure.