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Sortie n° 21368941, créée le 07 07 2022
Mam 1 invit pour 2 expos
Vidéo de la sortie
Organisateur
 Gege60

Date de la sortie
Heure de début
Vendredi 08 Juillet 2022

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
10:00 (du matin) (H-4)
14:00
Descriptif de la sortie

Extrudia

 

 

Anita Molinero - Musee D'art Moderne Ville De Paris à Paris | Billets &  Places

 

 

Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première rétrospective consacrée à Anita Molinero dans une institution parisienne. Cette exposition retrace les différentes phases de son évolution artistique : des premières œuvres de la fin des années 1980 – certaines, disparues, seront reproduites en photographie – jusqu’à ses dernières réalisations, notamment plusieurs productions réalisées pour l’occasion.

 

Le titre de l’exposition, dont les sonorités évoquent la science-fiction, fait référence à la fois à l’une des pratiques sculpturales de l’artiste (« extruder » signifie « donner une forme à un matériau en le contraignant ») et à l’un des matériaux de prédilection qu’elle utilise : le polystyrène extrudé.

 

Née en 1953 à Floirac (France), Anita Molinero est diplômée en 1977 de l’École supérieure des Beaux-Arts de Marseille. Son travail est exposé dès la fin des années 1990 dans plusieurs grandes institutions (telles que le MAMCO, Genève ou L Consortium, Dijon). Elle a également réalisé des commandes publiques notamment pour la Ville de Paris et la région Ile de France avec l’arrêt du tramway de la porte de la Villette en 2012. Tout au long de sa carrière, elle n’a cessé d'enseigner dans différentes écoles des beaux-arts en France.

 

Anita Molinero est l’une des rares artistes françaises de sa génération à s’exprimer exclusivement à travers la sculpture. Souvent monumentales et chaotiques, ses oeuvres défigurent des objets usuels et des matériaux triviaux : poubelles, tuyaux d’échappement, fers à béton, polystyrène extrudé et autres rebuts de la société de consommation. Elle transforme la matière dont elle parvient à déployer toute la brutalité et l'instabilité.

 

Le parcours de l’exposition, principalement chronologique, est pensé en deux parties.La première, rétrospective, s’articule autour des gestes caractéristiques du travail d’Anita Molinero. La seconde est, quant à elle, dédiée aux nouvelles oeuvres, qui ancrent son travail dans un univers futuriste.

 

En écho à la quarantaine d’oeuvres présentées dans les salles d’exposition, d’autres espaces du musée - notamment le bassin de l’esplanade entre le Palais de Tokyo et le Musée d'Art Moderne - seront investis par des installations monumentales. En complément, la projection d’un film expérimental tourné en 3D, intitulé Extrudia 3D et réalisé par José Eon, présente sous la forme d’une fiction le travail d’atelier d’Anita Molinero.

 

Un catalogue français, richement illustré, confronte plusieurs points de vue complémentaires, de théoriciens et d’acteurs du monde de l’art. Il repositionne le travail de l’artiste dans l’histoire de l’art et dans le monde de l’art actuel, à travers les essais d’Anne Giffon-Selle (directrice de CRAC 19 Montbéliard) et de Paul Bernard (conseiller scientifique de l’exposition et conservateur au MAMCO Genève). En complément, un entretien entre l’artiste et Olivia Gaultier-Jeanroy (commissaire del’exposition) aborde la problématique du devenir de la sculpture. L’aspect spécifique de la pratique d’Anita Molinero est aussi abordé grâce au texte de Stéphanie Cherpin (artiste), et ses fortes influences cinématographiques y sont rapportées par Eugénie Filho (critique de cinéma). Enfin, les essais sont ponctués par le regard de trois personnalités sur une oeuvre d’Anita Molinero : l’artiste Nina Childress, la collectionneuse Natalie Seroussi, et l’auteur Alain Damasio.

 

https://youtu.be/fvpBkAzB_w0

 

 

TOYEN | Paris Musées

 

Qui est Toyen, l’artiste surréaliste exposée en ce moment au MAM ?

 

Peintre visionnaire, profondément libre et politiquement engagée, Toyen, de son vrai nom Marie Čerminova (1902–1980) est l’une des figures incontournables du surréalisme et de l’art d’après-guerre. Peintre et dessinatrice, Toyen a multiplié les compositions rêveuses, érotiques, énigmatiques, qui ont fait sa singularité.

Le Musée d’Art Moderne de Paris lui consacre, jusqu’au 24 juillet 2022, une rétrospective d’ampleur, co-organisée avec la Hamburger Kunsthalle de Hambourg et la Galerie Nationale de Prague. L’occasion de découvrir ou redécouvrir la production foisonnante d’une artiste dont la vie extraordinaire avait pour quête d’embrasser ce qui lie désir et représentation.

 

Une artiste sans étiquette

Elle refusait de se dire peintre.Toyen (1902-1980) cherchait, explorait, questionnait. La pratique de la peinture, du dessin et du collage lui a permis de fouiller le sens de la représentation et de l’image. Et d’interroger, par ce biais, les angoisses et les désirs. Née au début du XXe siècle à Prague, Toyen quitte sa famille à 17 ans pour fréquenter les milieux anarchistes et communistes. La jeune femme fait alors un court passage sur les bancs de l’École des arts décoratifs de la ville, mais la quitte rapidement pour mieux rester libre – et singulière.

 

La création de l’artificialisme

Il y a des rencontres qui bouleversent une vie. Pour Toyen, ce sera celle de Jindřich Štyrský, en 1922. Comme elle, il pratique la peinture mais sans se plier à l’enseignement des beaux-arts ; comme elle, il est en rupture avec sa famille, et conteste l’ordre social. Ensemble, ils voyagent beaucoup, découvrent l’Europe. Ils créent le groupe avant-gardiste Devetsil, exposent et inventent l’« artificialisme », dont l’intention est de « provoquer des émotions poétiques qui ne sont pas seulement optiques »… Ou quand les peintres deviennent poètes.

La femme magnétique

Au début des années 30, Toyen découvre les écrits de Sade, les lit avec ferveur. Toute sa vie, même jusqu’à 70 ans passés, l’artiste fréquente les salles de cinéma où elle découvre des films pornographiques, curieuse aussi des cabarets comme le Crazy Horse, qu’elle fréquente à Paris. Toujours dans les années 30, elle collabore avec Jindřich Štyrský à une revue érotique, illustre des textes explicites et crée de stupéfiantes compositions qui la rapprochent des idées du Surréalisme ; elle co-fonde alors le groupe surréaliste de Tchécoslovaquie… avant que la Seconde Guerre mondiale ne se déclenche, et hante son travail de visions d’horreur et d’angoisse.

 

Une artiste à Paris

Après l’exposition que André Breton lui organise en 1947 à la Galerie Denise René, Toyen décide de s’exiler à Paris, pour échapper au totalitarisme stalinien qui, à la suite du nazisme, s’abat sur l’Europe centrale.

Elle participe alors activement à la création de la revue surréaliste Néon et poursuit ses expérimentations de peintre, composant des toiles troublantes où visions de rêves et de cauchemars se côtoient sous des titres formidablement poétiques (Le Mythe de la lumière, 1946 ; Tu t'évapores dans un buisson de cris, 1956). Dans le groupe surréaliste, elle est la discrète, la solitaire, celle qui parle peu mais bien ; Toyen est toutefois très respectée, et écoutée de ses confrères.

 

Des collages révélateurs

L’art du collage est on ne peut plus surréaliste : avec ses associations d’idées et d’images, il offre un excellent moyen d’en dire beaucoup, de suggérer, de pointer ou de chuchoter des idées. Toyen en avait le génie. Les années passant, elle s’y consacre de plus en plus, réponse toute personnelle à l’abondance d’images qui caractérise la société de consommation.

Quoi qu’elle ait regardé, Toyen nous aura fait voir l’autre monde qui est dans celui-ci. Au moment où nous sommes de plus en plus prisonniers d’un univers d’images interchangeables, elle nous offre une chance d’en prendre conscience, sinon d’y échapper.

 

 

 

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Expositions temporaires


Plein tarif : Le prix varie, selon les expositions de 7 à 13 €.
Tarif réduit * : Jeunes de 18 à 26 ans inclus, étudiants, titulaires de la carte « Paris Pass Familles » et « Famille nombreuse », titulaires de la carte « Navigo-Améthyste-Emeraude », enseignants en activité, documentalistes en activité des établissements scolaires, membres de la Société de l’histoire de l’art français, de la Société nationale des antiquaires de France, de la Sauvegarde de l’art français et de la Société française d’archéologie. 
Le prix varie, selon les expositions de 5 à 11 €. 

 

Gratuité * : moins de 18 ans, étudiants en art, enseignants de l'école du Louvre, animateurs centres de loisirs de la ville de Paris, carte d’invalidité, demandeurs d’emploi, minima sociaux, Maison des Artistes, guides et conférenciers, journalistes munis d'une carte de presse en cours de validité, carte Paris Musées, Société des Amis du MAM.
*sur présentation d’un justificatif

 

Chacun s'occupe de sa réservation

 

Réserver la tranche horaire de 14h00

 

https://www.billetterie-parismusees.paris.fr/selection/timeslotpass?productId=101843005590&gtmStepTracking=true

 

 

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