Qui m'accompagne lors de la projection du film LES VOIES JAUNES et du débat en présence de la réalisatrice Sylvestre Meinzer et l'exposition des photographies de Sergio d'Ignazio, sur le mouvement qui ébranla tout le pays ?
VOIES JAUNES
Jeudi 25 janvier 2024
Projection et débat avec Sylvestre Meinzer Projection à 19h: prix libre
Association DOC
26/26bis rue du docteur Potain
75019. PARIS
Metro Pyrénées ligne 11 (part 4)
+ Exposition de Photographies Serge D'IGNAZIO
INTENTIONS DE LA RÉALISATRICE SYLVESTRE MEINZER
En novembre et décembre 2018, quelque chose d'extraordinaire avait lieu. On ressentat comme un trouble, un bruissement, un déréglement dans la tranquillité des lignes droites, des parcours tristes, des émissions barnales des chaînes d'information continue... Darts la lignée de mes réflexions sur Thatoire des luttes populaires et de leur mémoire sinistrée, je rejoignis différents groupes de Gilets jaunes. Il me paraissait évident que je devas participer à ce moment unique où, en partant des expériences et des besoins de chacun, de la nécessité d'être utile à tous (à correriencer par les plus précain), on sedoniat du sers à la vie et à la politique
Rapidement, je glosas mon gilet dans ma voiture voiture et et partis partis sur les routres avec fidée de traverser la France en diagonale, du Havre à Marseille Ainsi je passait du temps dans les rands-points et assemblées et je logeais chez ceux qui voulaient bien me saconter leur expérience. Par précautions jervegutras les témoignages en son seul Main lambiance n'était bientôt plus la même
Traqués, vilpendés, les Gilers jaunes avaient le sentiment d'être présents sans être autorisés, de parler sous écoute, quelles que soient les précautions prises et les déclarations déposées en préfecture. Mon regard était si imprégné de cette tension que ma lecture du monde s'en trouvait chamboulée
Une herbe folle qui fouettait le trottoic un chien qui trait sur sa laisse, une bäche qui prenait bruyamment la pluie et je les regardais fascinée, ne les quittant des yeux quaprès avoir pris des images de leur agitation, Quand je rentrais chez moi pour regarder ces plans et écouter ces voix, les expériences les plus diverses remontaient à mon esprit. Je prenais conscience de la liberté de ton de l'expressivité des simbres des parlers populaires et je les trouvais finalement d d'autant plus captivants quil n'y avait pas s de visages dans lesquels lesn fermer
Mes images, quant à elles, prenaient une dimension inattendue qui s'opposait au flux l'agitation qui faisait finalement le jeu des médias et du pouvoir répresse Sur cette ligne poétique, mes orientations s'affimèrent en jouant des correspondances et des risonances, jallais remplacer les images du mouvement par celles qui portant le sentiment de sa présence et les voix de mes protagonistes feraient avancer le récit,
comme un grand corps social traversé d'expériences multiples cherchant à réinventer lao nde de dean.
L’association DOC est née d’un projet, celui d’offrir des espaces de production et de diffusion aux artistes contemporain·e·s.
En 2018 ce sont près de 95 résident·e·s qui ont trouvé leur place dans l’ancien lycée Jean Quarré au 26 rue du docteur Potain dans le XIXème arrondissement de Paris.
Plasticien·ne·s, photographes, artisan·e·s, comédien·ne·s, musicien·ne·s, bijoutier·e·s, créateur·ice·s, éditeur·ice·s, scénographes, écrivain·e·s, monteur·euse·s vidéo, dramaturges, réalisateur·ice·s, tous·te·s sont réuni·e·s autour de la certitude de la validité des propositions du DOC tant créatives que sociétales.
DOC accueille des artistes au sein d’ateliers privés ou partagés ainsi que des ateliers de résidences temporaires.
L’association dispose de neuf ateliers spécialisés ouverts aux résident·e·s mais aussi aux acteur·rice·s/artistes extérieur·e·s : ateliers bois, métal, peinture, couture, offset, post-production vidéo, son et sérigraphie.
Cinq pôles spécialisés développent la programmation du lieu : exposition, concert, arts de la scène, audiovisuelle, et université libre. Conçues comme indépendantes de l’activité des résident·e·s du DOC, ces programmations prennent place au sein des espaces mais s’inscrivent également dans une démarche collaborative hors-les-murs.
Les artistes sont en mouvement, plaçant au centre de leur activité leur avenir, assumant tout au long de leurs parcours le risque inhérent à cette posture. Le fait de vivre ce choix d’existence de manière collective favorise l’innovation et rend le risque plus acceptable.
L’association DOC est donc une énergie collective guidée par l’urgence du désir, celui de créer, de donner à voir et de partager.
PRIX LIBRE
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