Bonjour, dans le cadre de la 8è édition des films diffusés en avant-premières (du 04 au 12 juillet)

Qui veut m'accompagner pour pleurer avec moi ?

 

Il se dit :

Une oeuvre bouleversante, déchirante, d’une sensibilité folle et illuminée par un procédé mêlant fiction et réalité.

à découvrir sans plus tarder.

 

J'ai juste vu la bande annonce récemment, et j'en suis convaincue !

 

 

Synopsis :

 

c'est le film le plus primé de Cannes 2023 : 4 prix

 

Genre : Drame, film, documentaire : VOST (fin vers 22h35)

 

La vie d'Olfa, Tunisienne et mère de 4 filles, oscille entre ombre et lumière.

 

Un jour, ses deux filles aînées disparaissent.

 

Pour combler leur absence, la réalisatrice Kaouther Ben Hania convoque des actrices professionnelles et met en place un dispositif de cinéma hors du commun afin de lever le voile sur l’histoire d’Olfa et ses filles.

 

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Un voyage intime fait d’espoir, de rébellion, de violence, de transmission et de sororité qui va questionner le fondement même de nos sociétés.

 

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QUAND LA RÉALITÉ REPOUSSE LES LIMITES DU CINÉMA :

Après deux oeuvres fortes et très remarquées, La Belle et la meute et L’homme qui a vendu sa peau - premier film à représenter la Tunisie aux Oscars -, la cinéaste Kaouther Ben Hania écrit et réalise Les Filles d’Olfa. Présenté en compétition au 76e Festival de Cannes, ce projet unique s’articule autour d’un dispositif mélangeant la fiction et le documentaire.

 

 

2015, Tunisie :

un fait divers fait la Une de l’actualité et défraie la chronique dans le monde entier. Olfa Hamrouni convoque tous les médias et tente de tout faire pour retrouver ses deux filles aînées.

 

Celles-ci ont quitté le pays pour rejoindre le jihad et combattre en Libye aux côtés de Daech.

 

À l’époque, cette mère n’hésite pas à critiquer publiquement les autorités tunisiennes qu’elle accuse de n’avoir rien fait pour empêcher le départ de ses filles.

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Bien plus qu’une simple affaire, la réalisatrice Kaouther Ben Hania voit dans ce sujet un thème sur lequel braquer la lumière, celui d’une forme de malédiction qui voudrait que l’on reproduise la violence de génération en génération, le tout sur fond de patriarcat.

 

Souhaitant alors réaliser un documentaire sur cette histoire, la cinéaste contacte Olfa Hamrouni pour la convaincre d’être filmée en compagnie de ses deux cadettes, restées avec elle.

 

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