Cette exposition inédite ne fait donc pas exception à la pratique protéiforme et militante de Suzanne Husky. La dessinatrice poursuit sa réflexion plastique et critique sur les différentes formes d’exploitation des ressources naturelles en nous proposant ce conte utopique d’une douceur déconcertante. Inscrit dans la grande tradition de l’illustration naturaliste, cette fable poétique nous invite à renouer avec le monde précapitaliste, tandis que ses encres, gouaches et aquarelles font renaître dans l’imaginaire collectif un paysage pastoral fantasmé, une rivière habitée par l’animal totem de l’artiste : le castor.
Du lundi au dimanche de 11:00 à 19:00
JE NE PRENDS PAS LA LA.