Les œuvres de Katayama, profondément autobiographiques mais à
la portée universelle, invitent les
spectateurs à interroger le poids des attentes sociales sur la construction
de l'identité individuelle,
suscitant une réflexion sur la manière dont nous percevons les autres et
sommes perçus par eux Le
travail de Katayama remet en question les normes sur le corps et la vie,
offrant de nouvelles pistes sur
la question de savoir où finit le « je » et où commence le « tu ».
Après des études de gravure à l’école Estienne de Paris et de céramique à la HEAR de Strasbourg, Valentine invoque le dialogue du dessin et de la terre, et par ces biais explore l’ambiguïté des corps, entre images et objets. Au contact de matériaux vulnérables, elle questionne la fragilité de ces "peaux", et la notion du care dans son ambivalence, au regard de ces injonctions pour les personnes sexisé.es.
De ses uchronies visuelles, naît un répertoire de formes hybrides : une façon de faire résiliences collectives, et de réécrire des histoires silencieuses, à la croisée de l’écoféminisme, du post-humanisme et d’un médiéval émancipateur.
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