Le Jeu de Paume donne carte blanche à l'écrivain Jean-Philippe Toussaint pour une journée exceptionnelle consacrée au jeu.
Accompagné de Denis Podalydès de la Comédie française, William Marx du Collège de France, Ange Leccia, artiste plasticien, Elisa Shua Dusapin, écrivaine, Emmanuel Burdeau, critique de cinéma et Mitra Hejazipour, grand-maître international féminin, il aura pour objectif de rendre à l'institution sa vocation originale : celle d'une salle de jeu.
Comme chaque fois 2 expositions vous attendent
Capturer la beauté
Julia Margaret Cameron
(1815-1879)
Le Jeu de Paume rend hommage à Julia Margaret Cameron (1815-1879), pionnière du portrait photographique.
Célébrée à son époque pour ses portraits en gros plan, admirée et décriée pour son goût pour0 un flou artistique.
Première rétrospective de cette ampleur qui lui est consacrée à Paris, Julia Margaret Cameron. Capturer la beauté dévoile une centaine de photographies, de ses premières expérimentations aux compositions historiques, littéraires ou allégoriques figuratives, en passant par une impressionnante galerie de portraits de ses contemporains.
Son approche, très personnelle et si décriée en son temps, de la technique photographique, du flou aux erreurs diverses, s’est affirmée comme la marque d’un style précurseur, intégrant de manière novatrice l’imperfection et l’accident. Originale et hors du temps, l’œuvre, réalisée en à peine une décennie, entre 1864 et 1875, représente une des plus belles illustrations du souffle épique des débuts de la photographie.
L’exposition, produite par le Victoria and Albert Museum, est majoritairement constituée d’œuvres de l’artiste issues des collections du musée britannique. Pour l’étape parisienne, la seule en Europe, elle bénéficie de prêts exceptionnels de la Bibliothèque nationale de France (BnF), du musée d’Orsay et de la Maison Victor Hugo.
En noir et blanc, puis en couleurs, le photographe s'intéresse de près au monde qui l'entoure, à sa singularité, aux milliers de détails, de hasards qui le rendent beau et exceptionnel. Chaque image raconte une histoire : les différentes techniques utilisées, les évolutions artistiques de Victor Burgin ne servent qu'à approfondir, diversifier ces histoires.
Ce procédé narratif, cher au cœur de l'artiste, est même étendu par cette exposition : aucune citation, cartel ou texte explicatif n'est prévu pour commenter ces œuvres. Le musée souhaite ainsi laisser aux visiteurs la liberté de créer leur propre histoire, leur propre contexte. Chaque visite devient alors unique, et cette exposition se transforme en un immense dialogue entre l'artiste et
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