10 EUROS
19 sept 2023 - Dim 21 avr 2024 Mard - dim 11h 18h Merc 21h S & D 19h
La donation Pierre de Gigord
Ville cosmopolite, comme d’autres grands ports du Levant, Salonique – la Thessalonique grecque sous l’Empire ottoman – fut longtemps une cite juive où les commerçants, toutes confessions confondues, fermaient le samedi et durant les fêtes juives.
Les 150 œuvres de l'exposition du mahJ restituent l’histoire de Salonique de la seconde moitié du XIXe siècle à la fin de la Première Guerre mondiale.
Le don de près de 400 photographies et documents au mahJ par Pierre de Gigord
12 octobre 2023 Dim 12 mai 2024
Mard - dim 11h 18h Merc 21h S & D 19h
10 EUROS
Le musée d’art et d’histoire du Judaïsme présente la première rétrospective en France consacrée à Joann Sfar.
Avec près de 250 planches et dessins, pour la plupart jamais montrés, mais aussi des carnets, des photographies et des films, l’exposition retrace le parcours d’un artiste exceptionnel dont la créativité se déploie depuis plus de trente ans dans la bande dessinée, le cinéma et la littérature.
Ogre de papier, boulimique d’images et grand connaisseur du 9e art, Joann Sfar voue sa vie au dessin. À la tête d’une œuvre débordante et protéiforme qui brasse tout à la fois — la magie, les monstres, la musique, l’enfance, la philosophie, le cinéma, la littérature et le judaïsme —, l’auteur du Chat du rabbin et de Gainsbourg, vie héroïque fait l’objet d’une rétrospective. Son image : XX
L'enfant Didi
Itinéraire d'une œuvre spoliee
Chana Orloff
1921 - 2023
jusqu'au 29 septembre 2024
Chana Orloff avec son fils Didi dans son atelier rue d’Assas en 1924 © Ateliers Chana Orloff, photo Thérèse Bonney |
Le 26 janvier 2023, la sculpture de L’Enfant Didi, le fils de Chana Orloff, faisait son retour dans l’atelier de l’artiste, après une absence de près de 80 ans.
Volée le 4 mars 1943 – avec l’ensemble du contenu de l’atelier-logement et cent-quarante autres sculptures –, l’œuvre est ensuite passée de main en main jusqu’à sa réapparition à New York en 2008 et sa restitution à la famille quinze ans plus tard.
L’installation revient sur la place de cette sculpture dans la trajectoire artistique de Chana Orloff.
Elle permet également, à partir de cet exemple précis, de rappeler la réalité du pillage des ateliers d’artistes pendant l’Occupation.