En partenariat avec le Théâtre de la Ville – Paris
Le Dur désir de durer les comédiens, musiciens, danseurs traversent la scène comme on traverse sa vie. Ici, le Théâtre Dromesko évoque le temps qui passe, l’abandon, le désenchantement, la fragilité de la vie, ses tempêtes aussi, jusqu’à la disparition, avec l’inconnu et le mystère qui nous attend tous, derrière la porte. Il n’y a plus qu’à se laisser emporter...
« Une suite en avant face aux lendemains qui déchantent, avec dans le dos les rengaines du passé et sous les pieds le vertige d’être encore là aujourd’hui. Sur ce petit bout de plancher perdu au milieu du public, ponton flottant sur cette marée humaine, nous allons passer et repasser, courant ou trainant, seuls ou nombreux, allant toujours dans la même direction. »
Apercevoir des fragments de parcours, des parenthèses de vie avant un « après », ou après un « avant ».
{ PRESSE }
Le Dur désir de durer est douce, captivante et chatoyante. C’est une onde qui s’écoule, frénétique ou apaisante au gré des tableaux qui se succèdent dans une admirable et onirique fluidité. Thierry Jolif, Unidivers
Un spectacle qui passe comme une caravane, un enterrement, une fanfare, une procession, une file indienne de réfugiés. Le marabout Charles, mascotte maison, est bien sûr de la fête, drôlement grave et et gravement drôle. Jean-Pierre Thibaudat, Mediapart