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Le Musée d'Art Moderne de Paris organise, avec le concours de l’artiste, la plus importante exposition à ce jour de l'œuvre de George Condo. À la fois peintre, dessinateur et sculpteur, George Condo développe un univers singulier nourri par une culture visuelle prolifique qui parcourt l’histoire de l’art occidentale des maîtres anciens à aujourd’hui.
Né en 1957 à Concord, New Hampshire, George Condo s’installe à New York en 1979. Il est rapidement introduit dans la scène artistique locale, travaillant notamment pour l’atelier de sérigraphie d’Andy Warhol. Il part ensuite pour Cologne, puis Paris, qui devient son lieu principal de résidence de 1985 à 1995. Sa grande connaissance de l’art européen le mène à développer une approche personnelle de la peinture figurative et un regard féroce sur son époque.
Depuis la fin des années 90, Otobong Nkanga (née à Kano au Nigeria en 1974 et vivant à Anvers en Belgique) aborde dans son travail des thèmes liés à l’écologie, aux relations entre le corps et le territoire, créant des œuvres d’une grande force et d’une grande plasticité.
À partir de son histoire personnelle et de ses recherches témoignant de multiples influences transhistoriques, elle crée des réseaux et des constellations entre êtres humains et paysages, tout en abordant la capacité réparatrice des systèmes naturels et relationnels.
À la suite de ses études à l’université Obafemi Awolowo d’Ife-Ife au Nigeria puis à l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris et à la résidence d’artistes de la Rijksakademie d’Amsterdam, l’artiste développe un questionnement sur la notion de l’exploitation du sol tout autant que sur celle du corps dans son rapport à l’espace, à la terre et ses ressources. Elle examine les relations sociales, politiques, historiques, économiques à l’œuvre dans notre rapport au territoire, aux matériaux et à la nature et produit dans une pratique pluridisciplinaire (peintures, installations, tapisseries, performances, poésies etc.).
La notion de strates est centrale dans le travail de l’artiste – à la fois dans la matérialité de ses sculptures, interventions, performances et tapisseries, mais aussi dans sa façon de penser les relations entre les corps et les terres – relations d’échange et de transformation mutuelles. Otobong Nkanga explore autant la notion de circulation des matériaux et des biens, des gens et de leurs histoires entremêlées, que celle de leur exploitation, marquées par les résidus de violences environnementales. Tout en questionnant la mémoire, elle offre la vision d'un avenir possible.
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