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Les femmes sont-elles vénales ?
Author : Penible  
49/53

Date :    17-07-2022 00:01:43


Et avoir des chats
Author : Penible  
50/53

Date :    17-07-2022 00:05:17


5 preuves scientifiques que le chat rend la vie meilleure

Istock/Getty Images 5 preuves scientifiques que le chat rend la vie meilleure
En quoi le chat nous rend-il la vie meilleure ? Un peu chamane, un peu osthéopathe, il fait du bien au corps et à l'âme...C'est prouvé scientifiquement

Écrit par Emmanuelle Figueras
Publié le 20/11/2018 à 16h40, mis à jour le 20/11/2018 à 16h50

Les amoureux des chats le savent : ces animaux nous font du bien ! Ce n’est pas un hasard si, dans les grandes villes, les bars à chats se multiplient. Ils y font figure d’oasis de calme et de paix intérieure. Ce n’est pas un hasard non plus si 89 % des Français estiment que leur chat les rend heureux et que sa compagnie améliore leur bien-être (étude Royal Canin réalisée en mai 2017). Avec un chat qui ronronne sur les genoux, on se détend, et on a vite le sentiment que tout va mieux ! Mais de quels superpouvoirs cet animal dispose-t-il donc ?

Le chat nous rend plus heureux
Le contact d’un chien, d’un cheval ou d’un lapin nain peut aussi augmenter notre bien-être. C’est la base même de la zoothérapie. Le chat n’est donc pas le seul animal à nous faire du bien, mais il a un atout particulier : « Les ondes sonores que le chat émet en ronronnant déclenchent la production des quatre hormones du bonheur (sérotonine, endorphine, dopamine et ocytocine) dans son cerveau. Elles ont un impact auto-apaisant et autoguérissant chez l’animal. Ces vibrations agissent de la même manière sur notre cerveau », explique Véronique Aïache, auteure de L’Art de la quiétude, ces chats qui nous apaisent (Flammarion).


Le chat nous déstresse
Plusieurs études mettent aussi en évidence le fait que les propriétaires de chats seraient en meilleure forme physique et iraient jusqu’à cinq fois moins chez le médecin. Pourquoi ? Selon Véronique Aïache, « c’est sans doute le résultat d’un effet pyramidal. Au contact du chat qui ronronne, notre cerveau libère des endorphines et notre taux de cortisol et d’adrénaline (hormones du stress) chute. L’état d’anxiété diminue, ce qui permet d’avoir une respiration moins courte. On respire mieux, la tension artérielle baisse, le rythme des fréquences cardiaques ralentit… ». Bref, on se relaxe et c’est bon pour notre système immunitaire !

Le chat nous aide à trouver la paix
Le calme du félin est contagieux. « Le contact de peau à poil agit comme un anxiolytique », selon Véronique Aïache. La présence de l’animal plonge son propriétaire dans un état de relaxation. « C’est par le tympan, mais aussi par des terminaisons nerveuses situées au ras de la peau que nous percevons le ronronnement. Des pensées positives sont alors transmises à notre cerveau », précise le vétérinaire Jean-Yves Gauchet, auteur du livre Mon chat et moi, on se soigne (Le Courrier du livre).

Le chat est bon pour notre santé
Parce qu’il nous calme, le chat nous protège des maladies cardiovasculaires. Pendant dix ans, des chercheurs de l’université de l’institut de l’AVC du Minnesota ont mené une étude auprès de 4 000 propriétaires et non propriétaires de chats pour vérifier l’impact de l’animal sur la santé du cœur. Conclusion ? D’une part, les propriétaires de félins sont trente fois moins exposés aux crises cardiaques et maladies cardiovasculaires. D’autre part, la compagnie du chat augmente les chances de récupération et de survie après un infarctus du myocarde.

Le chat soigne nos fractures
Ils nous remettent sur pied. A fracture égale, un chat se remet trois à cinq fois plus vite qu’un autre animal grâce à ses ronrons qui accélèrent la réparation osseuse. « Les vibrations de basse fréquence ont le même effet sur les êtres humains », précise Véronique Aïache. « Des scientifiques ont reproduit artificiellement les ondes sonores du ronronnement pour les intégrer à des appareils de rééducation utilisés en kinésithérapie. Résultat : ces machines accélèrent la récupération des fractures osseuses, des lésions tendineuses et des muscles abîmés. »

www.femmeactuelle.fr/animaux/animaux-pratique/5-preuves-scientifiques-que-le-chat-rend-la-vie-meilleure-2071888?amp
Author : Abraham  
51/53

Date :    17-07-2022 14:15:31


je préfère les chattes ! question de goût!
Author : Ludomero 
52/53

Date :    18-07-2022 03:58:13


Auteur : Penible
60/65
Date : 16-07-2022 23:52:13

...les hommes sont ceux qui représentent les trois-quarts des décès par suicide (7.739 décès masculins contre 2.725 décès féminins),...
www.europe1.fr/societe/Suicide-une-affaire-de-femmes-348384.amp

On trouve ici un exemple d'interprétation douteuse des faits pour aboutir à une présentation des femmes en victimes.
Là, bien qu'on aura rappelé que la grande majorité des suicides concernent des hommes (les 3/4, c'est beaucoup), on aura quand même donné à l'article un titre laissant croire le contraire: "Suicide, une affaire de femmes"...
Author : Juanin 
53/53

Date :    26-07-2022 08:05:58



Auteur : Penible Membre encore non inscrit à une première sortie 1/11
Date : 17-07-2022 00:14:26 Signaler


À quel moment les femmes célibataires sont devenues des «femmes à chat»?

Temps de lecture : 6 min
Nadia Daam — 16 janvier 2017 à 13h55
Les femmes amatrices de félins sont souvent associées à cette expression, devenue synonyme de vieille fille et de pathétique.

Cat | Esra Erben via Flickr CC License by
Cat | Esra Erben via Flickr CC License by
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Temps de lecture: 6 min
Je suis une femme. Je suis célibataire. J'ai la trentaine (bien avancée) (ne posez pas de questions). Et j'ai un chat. Enfin, techniquement, j'ai une chatte. Mais, comme beaucoup de propriétaires de chats femelles, je préfère m'épargner les ricanements de mes interlocuteurs et éluder. D'aussi loin que je me souvienne, depuis que je suis en âge de vivre seule, j'ai toujours eu des chats: Agent Cooper, Adele et aujourd'hui Joe March.
Et cela a toujours fait l'objet de blagues de la part de mes amis qui me qualifient affectueusement de «fille à chat» ou de «femme à chat». Durant mes périodes de célibat, je participe moi-même aux plaisanteries en associant ma vie amoureuse à ma qualité de propriétaire de chat. Je raconte, sans aucune gêne, qu'à force de vivre seule avec ma fille et mon chat, il m'est arrivé un soir de dire à Joe (ma chatte donc): «Allez viens, on va se coucher». Je montre à mes collègues le paquet de croquettes que j'ai acheté pendant la pause déj' en rigolant «ahah, j'ai vraiment une vie de merde». Sur mon fil Instagram, vous ne trouverez aucune photo de mes partenaires, mais moult clichés de Joe et moi, lovés sur mon canapé, assortis de légendes comme «<3 <3 <3» ou «Faut vraiment que je trouve un mec».
Bref, j'ai totalement intégré le cliché de la «femme à chat», ou, plus cruel encore dans sa version anglophone, de «crazy cat lady» («la folle femme à chat»). Une façon de désigner les femmes célibataires omniprésentes dans le langage collectif et nos références culturelles. Et qui consiste à caricaturer le célibat féminin.

La série Les Simpsons a par exemple créé le personnage récurrent d'Eléonore Abernathy. Le 13e épisode de la saison 18 décrit son parcours: de petite fille, puis étudiante, à avocate brillante, elle finit par se faire virer, sombre dans l'alcool, et se met à adopter plein de chats. Elle est atrocement seule, et complètement tarée.

La femme amatrice de chat est régulièrement moquée de façon souvent grotesque et pas drôle, comme dans cet immonde «9 petites choses à savoir avant de fréquenter une fille qui aime les chats». Ne gâchez pas trois minutes de votre vie, je résume: une fille célibataire et qui a un chat est imbaisable. Il y a, bien sûr, cette espèce de légende urbaine de la vieille fille morte seule dans son appartement dont les chats affamés ont fini par se nourrir de sa chair et de ses globes oculaires (et cela est, en effet, arrivé à une quinquagénaire britannique).
Pas de «vieux fou à chat»
La «femme à chat» est au mieux, plainte, au pire moquée et soupçonnée d'entretenir un rapport malsain à son animal et à la solitude. Dans ce billet hilarant, la scénariste et blogueuse Ioudgine rappelle, à juste titre, que, «jusqu’à l’approche des 30 ans vous pouvez être concomitamment locataire d’un appartement et propriétaire d’un chat sans pour autant être jugée. Mais, à peine entrée dans cet âge, aux yeux de reste du monde, vous fusionnez avec l’animal et mutez en la fille-au-chat. Celle qui habite avec un félin sans autre alternative, celle qui a renoncé à rencontrer l’amour.»

La narration autour de l'expression «femme à chat» et l'équation femme + félin, repose néanmoins sur plusieurs données historiques et statistiques. D'abord, il est vrai qu'il existe un tropisme féminin pour les chats. Une étude menée par l'American Pet Products Association sur 463 propriétaires de chat révélait que 80% d'entre eux étaient des femmes. D'autres enquêtes ont révélé que les femmes avaient un rapport «plus intense» avec leurs chats que les hommes et entretenaient davantage d'interactions avec eux. Il est vrai aussi que le syndrome de Noé, pathologie consistant à héberger trop d'animaux de compagnies touche particulièrement les femmes, spécifiquement quand elles sont seules et âgées.
Mais, comme le détaille Kiri Blakeley sur Forbes, l'association vieille + fille + chat trouve ses sources dans l'histoire et la démographie. D'abord, les femmes vivent plus longtemps que les hommes (un écart de 6 ans en France) et se retrouvent donc davantage confrontées au veuvage et à la solitude pouvant mener à la volonté de s'entourer d'animaux de compagnie. Et cela peut expliquer en partie la prépondérance de femmes parmi les victimes du syndrome de Noé. Ensuite, il existe une raison pour laquelle le chien est généralement considéré comme le meilleur ami de l'homme avec un petit h, tandis que le chat serait un attribut typiquement féminin.

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«Les chats étaient utilisés pour chasser les rats et les souris de la maison. Or, les femmes ont longtemps été assignées au foyer», explique la dresseuse d'animaux Andrea Arden. Ce sont aussi elles qui géraient les stocks de nourriture et nourrissaient les membres du foyer, animaux compris. À l'inverse, les chiens étaient employés à seconder les hommes dans les activités extérieures comme la chasse ou la surveillance. Et confortent davantage les hommes dans leur statut de mâle alpha.

La femme au foyer, avec les animaux
Notons également que les chats sont capables de se comporter comme de parfaits connards, distillant leur affection au compte-goutte et quand ils le souhaitent. Comportement dont les femmes s'accomoderaient davantage que les hommes, car elles se sentiraient «intrinsèquement gratifiées par le fait de nourrir quelqu'un et n'espèrent pas de réponse en retour», analyse la comportementaliste animalière Pia Salk.
Ensuite, il y aurait un effet miroir entre les femmes et les félins. Les chats, ayant longtemps fait l'objet de superstitions suscitant la crainte, ont été accusés de tous les maux. Si l'Égypte ancienne a constitué le berceau de la domestication du chat, lequel était alors protégé et choyé, le Moyen Âge en a fait une créature coupable de duplicité et de malfaisance. La persécution des chats a connu son apogée quand ils ont été soupçonnés de servir les femmes accusées de sorcellerie.
Il est ainsi aisé de confronter cette mauvaise réputation à la misogynie qui frappe les femmes et aux stéréotypes négatifs qui leurs sont accolés. Un lien qui semble avoir donné naissance à une sémantique et imagerie idoine. Une femme qui aime les hommes plus jeunes est une «cougar». En anglais, le terme «kitten» désigne une fille sexy et aguicheuse: être «catty», c'est être vicieux et méchant et est plus souvent employé pour les femmes. Qualifier un homme «pussy» revient à l'accuser d'être lâche. Que dire enfin de «pussy» et de «chatte» pour évoquer le sexe féminin, avec assez peu de respect. En français, «chatte» ou «minou». Le sexologue Philippe Brenot explique à Marie Claire que la traditionnelle image de la femme-chat, caressante et amoureuse, semble avoir pu croiser l’ancien français «minon», qui désignait un «duvet ou poil doux». L’homonymie entre chat et chas (soit le trou de l'aiguille qu'on enfile) aura fini par entériner l'expression.

Loin des clichés
Mais ce stérotype de la vieille fille esseulée un peu zinzin qui a renoncé à l'amour est parfois battu en brèche. En 2009, le documentaire Cat Ladies a interrogé quatre femmes qui ont hérité de ce surnom. On y découvrait des parcours complexes, et des portraits de femmes bien éloignés de la vieille fille en peignoir qui sent un peu le pipi de chat. En 2014, c'est le New York Times qui a tenté de réhabiliter la «cat lady» en publiant les témoignages de femmes jeunes, épanouies, à la vie sexuelle active et néanmoins propriétaires de félins. La popularité du chat sur internet pourrait, elle aussi, parvenir à améliorer l'image des «cat ladies».

Car, derrière ce stéréotype de «folle à chat» se cache en réalité le jugement impitoyable porté sur le célibat féminin, presque toujours décrit comme subi et facteur d'exclusion sociale. Je suis moi-même en train de laborieusement écrire un livre sur le sujet. La femme célibataire est plainte et encouragée à faire quelque chose pour en sortir, comme si le célibat était une anomalie, un accident de parcours ou une période de chômage amoureux qui pourrait s'éterniser jusqu'à la mort si l'on y prend pas garde. Si elle couche de temps en temps avec des inconnus, elle est désespérée. Si elle prend un chat, c'est qu'elle a définitivement lâché l'affaire.

Notons qu'à l'inverse, le trentenaire ou même quadra célibataire homme n'est jamais perçu comme épouvantail. S'il couche avec des inconnus, il est indépendant. S'il vit avec un chat, il devient «sexy» ou «mignon». Rappelons néanmoins que, quel que soit notre sexe et notre statut marital, nous propriétaires de chats, sommes les moto-crottes personnels de nos félins et subissons au quotidien une forme de syndrome de stockholm qui nous conduit à accepter de nos chats ce qu'on ne tolérerait d'aucun être humain (comme le fait de se faire dévorer le gros orteil ou de se faire litteralement pisser dessus). En tout cas, pour la majorité d’entre nous.

www.slate.fr/story/134552/femmes-celibataires-chat?amp
Auteur : Penible Membre encore non inscrit à une première sortie 2/11
Date : 17-07-2022 00:29:03 Signaler

Life
Les femmes qui ont des chats se suicident davantage

Temps de lecture : 2 min
Charlotte Pudlowski — 3 juillet 2012 à 14h35
Neko Café Club. Haya BS via Flickr CC Licence by
Neko Café Club. Haya BS via Flickr CC Licence by


Temps de lecture: 2 min
Vous avez un chat? Vous êtes une femme? Tremblez. Selon le Telegraph, une recherche, menée sur plus de 45.000 femmes, révèle que celles-ci sont plus sujettes au suicide si elles ont un chat. Non parce que les chats seraient des êtres déprimants, ou parce que les femmes qui en posséderaient se projetteraient en vieille femme, seule, aigrie, dans un appartement plein de matous (de quoi vous suicider), mais parce les défécations de chats contiennent des parasites pouvant pousser au suicide.




Les personnes qui sont en contact avec ces matières (de même que celles qui mangent de la viande crue ou des légumes non lavés), encourent donc un danger plus grand. Le parasite en question est appelé Toxoplasma gondii.
Environ un tiers de la population mondiale est infectée par le parasite en question, selon le Telegraph, «qui ne niche dans les cellules du cerveau et des muscles, souvent sans produire le moindre symptôme». Selon Le Figaro, l’infection, appelée toxoplasmose (et que les femmes enceintes connaissent bien), sévit «partout dans le monde avec une fréquence variant en fonction du climat et des habitudes alimentaires». Le quotidien précise:
«En France, un rapport de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) publié en 2005 indiquait que près de la moitié des adultes sont infectés et que le nombre de cas survenant chaque année atteint 200.000 à 300.000 dont environ 6.000 femmes concernent des femmes enceintes.»
Très souvent, l’infection est tout à fait bénigne, mais chez les personnes dont les défenses sont faibles (un individu immunodéprimé), la toxoplasmose peut entraîner des lésions cérébrales et sans traitement, la toxoplasmose cérébrale, très grave, peut engendrer des troubles psychiatriques.

Selon Teodor Postolache, professeur de psychiatrie associé à l’université de Médecine du Maryland, et co-auteur de l’étude citée par le Telegraph:

«Nous ne pouvons pas dire avec une certitude absolue que le T. gondii a provoqué les tentatives de suicide, mais nous avons trouvé une association prédictive entre l’infection et les tentatives de suicide plus tard dans la vie de l’individu, une association qui commande de conduire les études.»


www.slate.fr/lien/58775/femmes-chats-su

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