Il faut que tu arrêtes d'utiliser Chat GPT pour me répondre
Tu tournes en boucle là. Et pourquoi tu as supprimé ton premier message ? Quelque chose que tu n'assumes pas ?

Le vote d'hier démontre malheureusement que j'avais raison. Le Front républicain ne marche plus mais ils vont encore nous bassiner avec ça toute la semaine et ça va encore donner des voix au RN. Ils n'ont rien compris, rien entendu.
Que crois-tu qu'il va se passer dimanche prochain ?

Soit le RN a la majorité absolue. Donc on aura Bardella 1er ministre pour 3 ans. 3 ans pour que la gauche, la vraie gauche, se reconstruise sans les LFI.

Soit le RN a la majorité relative à quelques voix de la majorité absolue. Bardella acceptera certainement le poste de premier ministre et le pays risque d'être ingouvernable, LFI mettra le boxon et donc c'est Marine Le Pen assuré en 2027.

Soit le FN a une majorité relative mais loin de la majorité absolue, Bardella ne sera pas premier ministre, on aura Mélenchon ou un de ses proches premier ministre. Et ce sera ingouvernable. Donc Marine Le Pen en 2027.

Soit le NFP a la majorité absolue avec donc un premier ministre LFI. Mais les résultats d'hier, même avec un front républicain, ne vont pas dans se sens.

Enfin il ne faut quand même pas occulter que le seul responsable de cette situation c'est Macron, sinistre personnage ! C'est lui qui a mis le RN en tête hier.

J'ai une question mais je pense que tu vas botter en touche comme d'habitude. Imaginons que Marine Le Pen arrive au pouvoir, qu'un nouveau virus touche des millions de personnes et qu'elle mette en place un pass vaccinal obligatoire comme l'a fait Macron. Tu va crier à la privation de liberté, à la dictature, ou tu vas la soutenir comme tu l'as fait avec Manu ?

Auteur : Lilibelul  

Si Marine le Pen adoptait le même comportement que Macron face au covid ,ce serait approuver la décision de ce dernier.
Dans ce cas ce sont surtout les complotites de tout bord,dont quelques uns sévissent ici auxquels il faudrait poser la question

Auteur : Lilibelul  

Complotistes

Le 30 mars 2016, Riss provoque une polémique avec un éditorial portant sur les attentats du 22 mars 2016 à Bruxelles :

« À cet instant, personne n’a encore rien fait de mal. Ni Tariq Ramadan, ni la femme voilée, ni le boulanger, ni ces jeunes désœuvrés. Pourtant, tout ce qui va arriver ensuite à l’aéroport et dans le métro de Bruxelles ne pourra avoir lieu sans le concours de tous. Car tous inspirent la crainte et la peur. La peur de contredire, la peur de polémiquer, la peur de se faire traiter d’islamophobe et même de raciste. La peur, tout simplement. Ce qui va se passer dans quelques minutes est l’étape ultime de la peur : la terreur. Le terrorisme. Il n’y a pas de terrorisme possible sans l’établissement préalable d’une peur silencieuse généralisée [...] Depuis la boulangerie qui vous interdit de manger ce que vous aimiez jusqu’à cette femme qui vous interdit de lui dire que vous la préféreriez sans voile, on se sent coupable d’avoir ces pensées. Dès cet instant, le terrorisme commence son travail de sape. La voie est alors tracée pour tout ce qui arrivera ensuite7. »

Certains observateurs, comme Fabrice Arfi de Mediapart ou l'association de critique des médias Acrimed, pointent du doigt « un édito dont les médias (français) n’ont pas parlé, ou à peine » contrairement à d'autres journaux étrangers comme le Washington Post ou Slate. Selon Pierre Marrisal, Riss tient un discours « essentialisant et islamophobe », « un tissu d’âneries » qui « revient purement et simplement à affirmer que tout musulman pratiquant est un terroriste ou un criminel »8,9.

Le 29 octobre 2019, Riss attise une nouvelle fois la critique sur Twitter en diffusant via le compte de son journal une une avec un dessin signé de sa main indiquant[à recycler] : « La République islamique en marche » (en référence au parti présidentiel : La République en marche). On y voit une caricature d’Emmanuel Macron déclarant « ce n’est pas mon affaire » en levant les mains au ciel tandis que, dans son dos, des femmes voilées défilent le regard baissé et le visage morne. La phrase que l’hebdomadaire prête à la caricature du président renvoie à une de ses déclarations lors d'un déplacement à La Réunion : « Le port du voile dans l'espace public n'est pas mon affaire. Dans les services publics, à l'école, c'est mon affaire ». De nombreux internautes accusent Charlie Hebdo d'attiser la haine à l'encontre des musulmans avec une couverture qui suggère que l'exécutif serait complice, par sa cécité, d'un péril islamiste en France10.

T'es à court d'argument pour que botter ainsi en touche en essayant de détourner le sujet ?
La consigne de vote -c'est le sujet, restons-y stp-, je ne t'ai pas vu, toi et tes amis du RN la critiquer quand elle est en votre faveur.
Comme quand S. Klarsfeld a appelé à voter pour le RN, on n'a pas entendu Martine à La Peine s'insurger contre l'indignité d'une telle parole !

C'est marrant la liberté de parole, la liberté de penser, la liberté d'opinion c'est toujours à l'avantage des haineux qu'elles sont revendiquées, jamais pour les démocrates, les républicains, les vrais patriotes !

"L'ESPRIT CHARLIE A BON DOS": RISS RÉPOND À LA BLAGUE POLÉMIQUE DE GUILLAUME MEURICE SUR NETANYAHU
Benjamin Pierret
Le 05/11/2023 à 14:22
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Le dessinateur Riss, de Charlie Hebdo, au Mémorial de la Shoah lors d'une exposition rassemblant les dessins qu'il a réalisés lors du procès de Maurice Papon, le 18 octobre 2023 à Paris
Le dessinateur Riss, de Charlie Hebdo, au Mémorial de la Shoah lors d'une exposition rassemblant les dessins qu'il a réalisés lors du procès de Maurice Papon, le 18 octobre 2023 à Paris - JOEL SAGET © 2019 AFP

Après sa blague controversée sur le Premier ministre israélien, Guillaume Meurice s'est revendiqué de l'esprit Charlie. Le directeur de la rédaction du journal réagit.
Guillaume Meurice est peut-être Charlie, mais la réciproque n'est pas forcément vraie. Riss, dessinateur et directeur de Charlie Hebdo, se montre très critique envers la blague du chroniqueur de France Inter, dans la tourmente depuis qu'il a comparé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à un "nazi sans prépuce" dimanche dernier à l'antenne.

La comparaison, faite en plein contexte de contre-offensive israélienne sur Gaza après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre, a déclenché une vague d'indignation sur les réseaux sociaux. En réponse, le chroniqueur avait simplement tweeté #JeSuisCharlie, slogan promouvant la liberté d'expression, apparu en 2015 dans la foulée de l'attentat islamiste qui a fait 12 morts en visant la rédaction.

Interrogé par La Tribune Dimanche sur la plaisanterie du chroniqueur, Riss offre une réponse sans équivoque:

"Comment peut-on encore utiliser des termes si puérils...", déplore celui qui a survécu à l'attaque du 7 janvier 2015 contre le journal satirique. "Ce sont des raccourcis. Bien sûr que l'on peut rire de tout, mais il y a une manière de le faire."
"Depuis l'offensive israélienne sur Gaza, il y a un déferlement de propos visant à inverser les choses", poursuit-il. "On en arrive presque à oublier ce qui s'est passé le 7 octobre. Dire que les massacres du Hamas sont comparables à ceux des nazis pendant la guerre, ça devient inaudible (...) La propagande joue en faveur des terroristes palestiniens."

"L'esprit Charlie n'est pas une poubelle"
Sur le fait que Guillaume Meurice se soit revendiqué de l'esprit Charlie après les critiques de sa blague, Riss se désolidarise. "L'esprit Charlie a bon dos", dénonce-t-il, avant de poursuivre

"L'esprit Charlie, ce n'est pas une poubelle qu'on sort du placard quand ça vous arrange, pour y jeter ses propres cochonneries."

Et de rappeler que Charlie Hebdo a lui-même consacré sa couverture de la semaine à Netanyahu: "On n'a pas eu besoin de dire que c'était un nazi ni de préciser qu'il était circoncis pour faire comprendre aux lecteurs ce qu'on en pensait. C'est ça, l'esprit Charlie. C'est plus subtil et plus difficile à maîtriser qu'il n'y paraît."

Remontrances en haut lieu
La plaisanterie de Guillaume Meurice lui a valu une remontrance d'Adèle Van Reeth, directrice de France Inter, dans un communiqué publié mardi et adressé aux auditeurs: "Qualifier n’importe quel représentant politique de 'nazi' est une outrance dont le caractère comique peut être, en temps normal, questionné", a-t-elle écrit.

Ah oui, j'allais oublier !
- Genre d'âne Bordella qui critique "l'alliance du déshonneur" à gauche : moi je pense qu'il voulait en fait parler de celle du ralliement honteux de Chiotti au FN !
- 33% des votes exprimés, soit 10 millions de votes ça fait pas une majorité, loin de là !
- Sur 300 triangulaires possibles, à aujourd'hui plus de 200 désistements enregistrés.
Conclusion provisoire : les désistements se mettent en place massivement.
Lentement, timidement, péniblement, le barrage républicain se met en place...
No pasaràn, la République vivra.
On va vous mettre minables.

Pour en revenir à Riss qui essaye de nous éclairer de ses édito via un journal symbole de la liberté et de la démocratie et retransmis ici par notre ami Indina75, il va de soi qu' un journaliste est un être humain avant d'être journaliste et donc a forcement un parti pris. Ce qui est dommage c'est que ça ne reste pas privé et personnel, comme son vote. Il n'est pas à la tête d'un parti politique pour donner des consignes de vote. Je sais que son cas est particulier puisque c'est un rescapé d'une barbarie son nom, mais son métier est dessinateur caricaturiste, celui qu'il sait faire le mieux, pourquoi ne pas se limiter à ça? Dans le privé, comme tout le monde, il fait ce qu'il veut.