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Je vous invite à me suivre à ce nouveau RV doménical musical, dans cette Eglise qui m'est devenue une familière pour le : 

 

3ème festival des AMITIES INTERNATIONALES

 

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AU PROGRAMME

 

Gian Mario Soggiu (Italie)

Ludwig van Beethoven

Sonate pour piano n°21

- Premier mouvement

 

Sergueï Prokofiev

Roméo et Juliette, Op. 75

- Pièces n°6 et n°10

 

Franz Liszt

Étude d'exécution transcendante n°12 : "Chasse-neige"

 

Sean Sutherland (Canada / Saint-Vincent et les Grenadines)

 

Frédéric Chopin

Mazurka, Op. 17 n°4

Valse, Op. 42

Sonate pour piano n°3 en si mineur, Op. 58

 

- Final

 

ENTRACTE

 

Xavier Aymonod (France)

 

Jean-Sébastien Bach (arr. Xavier Aymonod)

Passacaille pour orgue

 

Franz Schubert (arr. Franz Liszt)

Ständchen (Sérénade), D. 957

 

Jeremias Mameghani (Allemagne)

 

Frédéric Chopin

Polonaise n°5

 

Valentin Silvestrov

Bagatelle n°2

 

Myroslav Skoryk

Mélodie

 

Teodor Leszetycki

Nocturne, Op. 12

David Lee (États-Unis / Taïwan)

 

Frédéric Chopin

Scherzo n°3

 

Maurice Ravel

Gaspard de la Nuit - Ondine

 

Claude Debussy

Jardins sous la pluie

 

 

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Le concert pourra être suivi d’une visite guidée de l’église vers 17h30

 

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Un peu d'Histoire et d'Art, de celle qui fut appelée

"Notre-Dame la petite"

 

 

 Elle n'est pas la plus visitée des églises de la capitale, pourtant les œuvres d'art et les vitraux Renaissance y abondent.

 

Le début de sa construction remonte aux premières années du XVIe siècle.

Les vitraux Renaissance qui ornaient la nef et le chœur étaient regardés à l'époque comme faisant partie des plus beaux de Paris.

 

Au XIXe siècle, le restaurateur Prosper Lafaye essaiera de reconstituer les scènes initiales.
Lors de la Révolution, Saint-Merry ne subit pas trop de dégâts. Elle est transformée en fabrique de salpêtre en 1793, mais rouverte en 1795.

 

L'église Saint-Merry possède trois caractéristiques mises en exergue par les historiens.

 

Bâtie en moins de soixante-dix ans, c'est le seul édifice parisien en gothique flamboyant, commencé après 1500, qui subsiste dans la capitale.

 

Deuxième trait remarquable : l'existence d'un second collatéral méridional dans la nef.

 

Enfin, si l'on fait abstraction de cet ajout architectural, le plan de l'édifice correspond, en taille réduite, à celui de la cathédrale de Paris.

 

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Voili voiLou, si ce jeu de mains vous tente, joignez-vous à moi, vous êtes les bienvenu.e.s