Pour la première fois à la galerie, le travail de Fernando Marante est exposé
dans une exposition personnelle centrée sur le mouvement, exposition qui tire
son nom du célèbre film expérimental de Fernand Léger (1924).
Ce « ballet mécanique », mu par des exigences de recherche, d’invention et
d’expérimentation de la matérialité même du dispositif cinématographique,
illustre en effet parfaitement l’intention de transfiguration du temps et
du mouvement en essai visuel qu’évoquent les images de Fernando Marante.
Son travail dialogue avec deux oeuvres de Hans Kooi, artiste du mouvement
cinétique représenté par la galerie Denise René.