Je suis tombé sur cet article de libé (payant je suis abonné) qui
dit entre autres que les monofoyers ont dépassé les couples (à mon avis grosse part du coût du logement) dans les grandes villes et qu'il a jamais été aussi compliqué aujourd'hui malgré les nombreux outils à notre disposition de se projeter en mode couple (cà je suis assez d'accord..)
Trop de choix, "ensauvagement" des gens, toujours mieux ailleurs etc..
Source Libé (quelques extraits de l'articles):
"Les métropoles bondées créent le sentiment d’un vide que l’usage des réseaux sociaux semble curieusement aggraver."
"Los Angeles détient le record de 58% de personnes singles (célibataires).
A Londres, la moitié des foyers est composée d’une personne seule.
Le taux est encore plus élevé à Stockholm ou à Tokyo.
A Paris, une femme sur deux est célibataire, contre seulement 36% des femmes en province.
«L’extraordinaire progression des mono-foyers est l’une des plus grandes évolutions sociétales depuis le baby-boom. Elle représente l’avènement d’un nouveau modèle qu’aucune culture dans l’histoire de l’humanité n’a jamais expérimenté à un tel degré"
"Pourquoi préférer untel ou unetelle, et au risque de se tromper ?
Comment s’investir quand on a l’impression de n’être soi-même qu’une pièce détachée, un être de rechange, facilement remplaçable dans le jeu des échanges affectifs ? Le problème avec la «liberté»
c’est qu’elle nous fait perdre confiance en notre capacité d’être utiles ou indispensables à quelqu’un.
Or qu’est-ce que l’amour au fond si ce n’est pas de la dépendance ?"
Discutons en, apportez quelque chose à boire et à partager.
RDV dans le parc floral sur une table de pique-nique (il y en a une 20aines et on peut être 6 dessus facile dont une couverte avec au moins 20 places).