Bonjour,
Ayant l'esprit aventureux, je vous avoue que seul le tire de l'expo m'a attiré...
Onirisme, métavers, transhumanisme, poésie, incandescence, électronique, fusion, apocalypse, limbes...Tout ces mots me viennent à l'esprit lorsque j'entends "Nuits Corticales"...Alors, j'ai bien envie de confronter mes hallucinations lexicales au champs infini sémantique du titre de cette expo...
Vous êtes toujours là ?
Alors vous aussi, si vous êtes des poètes maudits dans ce modernisme aliénant, des épicuriens empiriques ou tout simplement des professionnels de la psychanalyse d'urgence, vous êtes les bienvenus...
Pour les autres, on vous accueille aussi !! ((-;
alors, c'est quoi ? Bah débrouillez-vous avec ça :
Après Ugo Rondinone et Jean-Michel Othoniel, c’est au tour de Loris Gréaud de métamorphoser l’enceinte du Petit Palais. Ce grand maître de l’illusion, désigné comme l’enfant prodige de l’art contemporain au tout début des années 2000, n’avait pas fait l’objet d’une telle exposition à Paris depuis son double coup d’éclat au Louvre et au Centre Pompidou dix ans plus tôt. Décrié à ses débuts, le dernier des artistes romantiques signe pourtant bel et bien ici sa revanche en orchestrant son grand retour dans la capitale avec cette puissante carte blanche. Son nom ? Les Nuits Corticales. La promesse d’un long voyage jusqu’au bout de la nuit aux confins de son univers à la fois étrange et onirique... Tel un vaisseau fantôme, l’exposition s’élance ici comme un mirage, une hantise contemporaine, énigmatique et délicate dans le palais des beaux-arts de Paris. D’étranges créatures subliminales en expansion dialoguent dès lors avec une série de sculptures monumentales. Les ombres dansent sur les murs, tandis que l’installation semble se refermer sur nous. Cette fantastique parenthèse artistique tirée d’un paysage enchanté hérité de sombres contes de fées aura effectivement semblé durer le temps d’un rêve... ou d'un cauchemar ?
J'ai même pas lu...((-; Mais j'y serai !!
Au plaisir de vous y voir
Philippe