
« Aux débuts du chemin de fer, avant l’ère des télécommunications, le hasard était le compagnon du quotidien. Les « touristes » n’existaient pas, il n’y avait que des « voyageurs » atteignant après d’imprévisibles périples des horizons aussi lointains qu’Istanbul, Rome ou l’autre bout de leur ville natale. Magie du mouvement. »
Dans cet état d’esprit, l’exposition « Solitudes habitées » de Bruno Meignien vient mettre en regard de nombreuses situations solitaires, où l’on perçoit pourtant de la vie, qu’elle soit humaine ou provoquée par le mouvement des éléments : ce sera ici un train dans un paysage immense, là un personnage au loin sur le fleuve gelé, ou encore le déferlement d’une masse nuageuse animée par les couleurs du couchant.
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