Un homme évoque son enfance et sa jeunesse, ordinaires, prises dans un monde divisé entre clans rivaux. Et la guerre qui éclate ; l’homme se trouve confronté à l’horreur. Puis la naissance de la haine, les amours balayés, la croyance en un dieu vengeur, pour devenir lui-même un guerrier. Il finira ne sachant plus s’il en a été la victime ou le bourreau. Une interrogation sur la banalité du mal innervée par la puissance et la poétique du verbe d’Adel Hakim.
“Il s’agit d’emmener le spectateur, détail après détail, événement après événement, reconstitution après reconstitution, dans un voyage, en compagnie de cet individu, un voyage vers un pays inconnu, complexe, protéiforme. Et de tenter d’établir une carte de ce monde qui se trouve être celui de la terreur. Ce n’est pas un récit, ce n’est pas une histoire. C’est une expérience qui est proposée.” Adel Hakim, préface d’Exécuteur 14
“Une performance exceptionnelle. De victime à exécuteur, il nous entraine dans un voyage au bout de l’enfer.” Sud Ouest
“Un monologue dramatique époustouflant. Antoine Basler en livre une remarquable incarnation.” Froggy’s Delight
“Ce temps suspendu, qui offre de magnifiques réflexions sur le thème de l’acteur, nous laisse avec l’impression étrangement familière d’avoir intensément éprouvé, nous aussi, une expérience de guerre.”
[Source : communiqué de presse]