Pour la fondation Desperados, Alëxone Dizac, figure emblématique du graffiti parisien, a conçu une expo qui casse les codes du street art en invitant des artistes qui habitent son imaginaire, de Miss Van à Charles Fréger, en passant par Madame.
Un parcours qui respire et inspire, à découvrir en entrée libre à la Poste Rodier.
Alëxone Dizac
« Ma vision de l’urbain, c’est l’ouverture », explique cette figure du graffiti parisien. Sur invitation de la fondation Desperados, fondation d’entreprise du groupe Heineken en France, initiée en 2018, il endosse pour la première fois le costume de commissaire. « Il y a eu trop d’idées reçues sur l’art urbain : nous, artistes, on rêve tous de nature ! » Son pari est simple : montrer que l’art de la rue ne se résume pas aux grands noms médiatiques ni aux surfaces bankables. « Le street art charrie bien autre chose, de la poésie, de la vulnérabilité, une respiration », insiste-t-il. Va donc pour cette promenade qui emprunte des chemins de traverse.
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