Je te propose cette exposition inouïe :
C’est le fruit d’une expérience intime et poétique qui tient en quelques sculptures, fragiles et éternelles.
Aiko Miyanaga (née en 1974) n’avait jamais osé toucher aux caisses en bois qui végétaient dans l’atelier familial.
Puis, un jour de 2020, la sculptrice découvre, à l’intérieur, des moules en plâtre de Sèvres, en deux parties, incomplets, lourds et blancs, qui appartenaient à son arrière-grand-père Tozan Miyanaga.
Cet aïeul fut l’un des coordinateurs d’exposition du pavillon du Japon pendant l’Exposition universelle de Paris en 1900 et avait collaboré avec le céramiste Numata Ichiga, le seul Japonais de l’époque à étudier à la manufacture de Sèvres.
Ce passé se cristallise aujourd’hui dans la première exposition d’Aiko Miyanaga en France, orchestrée par Le Clézio Gallery.
L’artiste y met en lumière ses œuvres de verre et de naphtaline, son matériau de prédilection, redonnant vie à des formes animales endormies depuis plus d’un siècle :
« Les formes absentes qui sommeillaient depuis longtemps à Kyoto sont maintenant, à Paris, reliées entre elles entre passé, présent et futur », note-t-elle.
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