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Bach Ich elender Mensch, wer wird mich erlösen, cantate BWV 48
Mahler Das Lied von der Erde (arrangement de Glen Cortese, 2006)
Si la cantate BWV 48 exprime la souffrance de l’homme conscient de ses fautes, Le Chant de la Terre la douleur de l’être devant la vanité de sa condition, Bach et Mahler laissent aussi entrevoir une possibilité d’apaisement. Mahler aimait particulièrement la cantate BWV 48 (1723), qu’il aurait peut-être même dirigée. A-t-il été sensible à sa trajectoire, de la lamentation à l’espoir ? De tels sentiments sont présents dans les poèmes chinois du VIIIe siècle mis en musique dans Le Chant de la Terre (1909), arrangé pour orchestre de chambre par Glen Cortese. Célébration de la beauté de la nature et de sa fragilité, joie exubérante de l’homme ivre, solitude douloureuse, angoisse à l’approche de la mort : les émotions alternent jusqu’au dernier mouvement, qui scelle la réconciliation de l’homme et du monde.
Production Orchestre de chambre de Paris