Pour ce nouveau café philo nous allons partir de l'idée de la banalité du mal de Hannah Arendt. Voici quelques ouvrages que nous avons sélectionnés. Pour participer au café, il faut en avoir lu au moins un.

● Cyrulnik, le laboureur et les mangeurs. Une réflexion psychologique sur le mal , comment on devient mauvais

Extrait ici : https://www.fnac.com/a20555207/Boris-Cyrulnik-Le-Laboureur-et-les-Mangeurs-de-vent#omnsearchpos=2

● Le mal : raisons et croyance d'Ilaria Brocchini : Mais en dépit des moyens que l’homme se donne, la croyance en l’existence du mal demeure. Pourquoi ? Parce que l’homme continue de mourir.

https://www.fnac.com/a21027583/Ilaria-Brocchini-Le-mal

● Penser le mal de Susan Neuman : Si la question du mal est éminemment philosophique, c'est qu'elle n'est pas seulement morale : elle interroge l'intelligibilité du monde.

https://www.fnac.com/a21190981/Susan-Neiman-Penser-le-mal-Une-autre-histoire-de-la-philosophie

● Penser dans un monde mauvais - Geoffroy de Lagasnerie - Parce qu'écrire c'est s'engager, tout auteur doit nécessairement se demander comment, par sa pratique, ne pas participer à la reproduction d'un monde traversé par des systèmes de domination, d'exploitation et de violence

https://www.fnac.com/a10127665/Geoffroy-de-Lagasnerie-Penser-dans-un-monde-mauvais

● Eichmann à Jérusalem Le livre de Hannah Arendt où elle évoque la banalité du mal.  

https://www.fnac.com/a108187/Hannah-Arendt-Eichmann-a-Jerusalem

● Des auteurs qui décortiquent la pensée de Arendt. Je vais lire celui-là.

Annabel Herzog : Totalitarisme et banalité du mal

https://www.fnac.com/a3732912/Herzog-annabel-dir-Hannah-Arendt-Totalitarisme-et-banalite-du-mal

Voilà, cela vous laisse du choix. Bonne lecture et à bientôt

L'idée de ces rencontres c'est de nourrir le débat avec des arguments réfléchis, loin des discussions de comptoir de café de commerce ou des lieux communs. La culture nous enrichit.
 
Les règles de ces rencontres : 
 
Je rappelle la définition de débattre
 
Nous nous rencontrons pour échanger c.à.d que personne ne coupe la parole à personne, que chacun et chacune accède à la parole et que tout le monde écoute tout le monde, prend en compte la parole de chacun et chacune, ce qui exclut le monologue plus ou moins décalé avec le thème. Sont exclus également les jugements du type : ce n'est pas ça, tu n'as pas compris.

Il s'agit d'échanger, de nous cultiver, voire, espoir fou mais réaliste, de nous faire grandir. Pour cela chacun et chacune doit avoir une place, sa place, de fait, sans batailler à se faire entendre.

Débattre c'est rencontrer l'autre, c'est reconnaître la place de l'autre et la valeur de sa parole
 
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