Films, opéras, ballets et concerts à voir,
confortablement installés dans des transats !
En prime, l'exposition d’art contemporain, Les Extatiques,
avec des œuvres monumentales
à découvrir du jardin Bellini à la place Rodin, en passant par le parvis.
Mon avis sur cette expo :
elle recense des oeuvres sculpturales et aussi digitales sur des supports variés, pour dénoncer les enjeux du changement climatique actuel.
C'est assez bien trouvé, parfois facétieux, parfois subtil, parfois non, mais c'est original et cela colle bien aux différents lieux.
Au final, je l'ai trouvée amusante, ce qui n'est pas une évidence au regard des thèmes traités.
Possibilité de se restaurer sur place (je ne peux vous dire si c'est cher ou non, je n'en ai aucune idée)
NOTA BENE la nourriture et les boissons venant de l'exterieur ne sont pas autorisées.
Bon, cela étant... hein... perso, je camouflerai un petit sac de bonbons à partager avec vous en douce.
D'abord, parce que les bonbons, c'est pas de la nourriture, tout le monde le sait très bien ///
et puis aussi, parce que je me découvre en ce moment une âme de rebelle ///
et enfin, faudrait quand même pas qu'on soit tous en hypoglycémie quand même nanmého !
AIDA -VERDI - LOTTE DE BEER
Créé à l’Opéra du Caire en 1871 pour célébrer l’ouverture du Canal de Suez, Aida nous plonge dans le fantasme d’une Antiquité reconstituée. Au cœur de l’intrigue, un choix impossible entre l’amour et le devoir patriotique : une princesse éthiopienne captive et un militaire égyptien trahissent leur peuple et défient une puissante rivale, s’unissant jusqu’à la mort. Marquée par le contraste entre un spectacle démesuré et la transition vers une dramaturgie de l’intimité, la partition de Verdi réussit à distinguer le drame intérieur de ses protagonistes de l’imposant cadre historique. L’œuvre réunit les thématiques chères au compositeur : la nostalgie de la patrie perdue, la délivrance par la mort, l’opposition entre un présent décevant et un ailleurs idéalisé, le poids des pouvoirs religieux et politiques, éléments régulateurs d’un monde conçu comme un piège. La metteure en scène hollandaise Lotte de Beer, pour ses débuts à l’Opéra national de Paris, choisit de porter un regard critique sur la représentation européenne des peuples colonisés, nous incitant à repenser notre rapport aux productions esthétiques du passé et du présent.
là encore, moi je déteste arriver en avance (et c'est un euphémisme pour qui me connaît un peu), mais bon, je peux me faire violence et arriver plus tôt, avancer le rencard de groupe à 18h30 pour qu'on soit oklm posé avant la grosse foule.
Dress code : faites péter la créativité en mode perruquée, opéra dadame chic ou sur le thème Aïda (si vous apportez des chaînes, rapport au thème de l'esclavage, svp évitez le total look BDSM, ça va pas coller)
En option après la projection : faire une dinette chic avec des bulles, le long des bords de Seine à la lumière de jolis lampions.
Dites en commentaires ce qui vous tente ou non.
Pour venir à la Seine Musicale :
https://www.laseinemusicale.com/infos-pratiques