{Le code d'Orsay} est l'occasion d'accueillir le jeudi 22 février l'artiste digital à l'auditorium pour parler de son regard sur le musée, de la place du vivant dans ses créations et de l'apport singulier de la science dans son processus de création
La conférence réunira autour de lui les biologistes et physiciens co-auteurs de l'œuvre Interprétation par Saccharomyces cerevisiae de l'Atelier du Peintre de Gustave Courbet.
L'artiste veut montrer que l'univers du codé et du digital sont indissociables du physique et du vivant.
Acteur phare de l’art digital, dont les créations sont issues de la révolution du Web3, mais aussi figure de la scène électronique française et internationale, Agoria est invité à poser son regard singulier sur le musée d’Orsay, son architecture et ses chefs-d’œuvre.
Sébastien Devaud, dit Agoria, est un artiste digital dont les œuvres unissent le physique au virtuel, le vivant au codé.
Aujourd’hui, Agoria fait partie des artistes les plus actifs dans l’univers naissant du Web3.
Il développe toute sa pratique artistique autour de l'art génératif biologique, c’est-à-dire la création d’œuvres à l’aide d’algorithmes, d’intelligence artificielle et de données issues du vivant.
Il s’entoure de scientifiques pour concevoir des œuvres combinant art, musique, métavers et science, avec pour objectif d’inscrire le vivant sur la « blockchain ».
Depuis quelques années, un univers artistique accompagne la création issue du Web3, nouvel écosystème en ligne basé sur la blockchain.
Cet espace de création regroupe une véritable communauté qui trouve un écho auprès d’institutions muséales telles que le musée d’Orsay.
Le XIXe siècle est celui de la naissance de la modernité et de l’audace, mais aussi celui d’affrontements critiques - on pense notamment à l’impressionnisme.
C’est pourquoi le musée d’Orsay souhaite explorer le lien entre l’émergence de cet art expérimental et ses collections.
Dans le cadre de cette invitation intitulée {Le code d’Orsay}, Agoria présente deux œuvres créées en écho aux collections et développées sur la blockchain Tezos.
Une première, Σ Lumina, dotée d’une forte dimension poétique, participative et expérimentale, et une seconde, Interprétation par Saccharomyces cerevisiae de l’Atelier du Peintre de Gustave Courbet, qui unit très étroitement le monde de l’art et celui de la science. Ce lien est au cœur de la démarche de l’artiste qui veut montrer que l’univers du codé et du digital sont indissociables du physique et du vivant.
Ce cheminement entre art digital et science sera évoqué, le 22 février, lors d’une conférence rassemblant les acteurs du projet.
Enfin, Agoria a créé un morceau musical en hommage au musée d’Orsay, qui sera diffusé au musée, en avant-première, dès le 13 février, puis le 23 février lors du DJ Set de l’artiste dans la nef du musée
Inscription pour plusieurs possible ?
Places
Non Dis à tes amis de se créer un compte!
3
Adresse du RDV
Précisions pour se retrouver
Pour connaitre le lieu précis du rendez-vous, connecte-toi !