À la mémoire du rock de François Reichenbach © Les Films du Jeudi (DR)
Dimanche 7 mars, 17h
Les "Sixties" sont la décennie où en France les jeunes s'affirment, cherchent une autre voie que celle de leurs parents. Maurice Pialat, François Reichenbach ou Nestor Almendros, filment une génération en mal d'amour et de Liberté.
L'Amour existe de Maurice Pialat (1960)
Sur des images en noir et blanc très fortes et qui ne dédaignent pas l'échappée poétique, Maurice Pialat a posé un texte magnifique de colère, de désenchantement et de tristesse, infusé par sa propre enfance blessée. (Serge Kaganski). Prix Louis-Delluc 1960
À la mémoire du rock de François Reichenbach (1960)
À l'époque, on n'avait pas le choix, c'était ou l'usine ou le rock 'n roll, se souvient Johnny Hallyday. Cette mémoire est déjà un cri, une vibration sauvage qui électrise la jeunesse rassemblée au Palais des sports. Les idoles s'appellent Eddy Mitchell, Vince Taylor ou Johnny Hallyday.
La Journée d'une vendeuse de Nestor Almendros (1969)
Un grand magasin : le Bazar de l'Hôtel de ville. Le quotidien d'une vendeuse venue de la banlieue. Une journée cadencée comme les autres. Mais à quoi rêve cette jeune femme si sage ?
Séance inédite présentée par Ludivine Bantigny, historienne et co-auteure de Jeunesse oblige. Histoire des jeunes en France, XIXe-XXIe siècle.
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