Il a fallu attendre une trentaine d’années après la création de la Cinquième Symphonie pour que la phrase, la fameuse petite phrase surgisse, immortalisée par le premier biographe de Beethoven. « Ainsi le destin frappe à la porte » aurait glissé le compositeur, à propos du célèbre premier mouvement. Le destin de la « symphonie du destin » était scellé. La Lettone Kristiina Poska se l’approprie, après avoir fait chanter le Quatuor Diotima dans une nouvelle œuvre de Bruno Mantovani, à laquelle on souhaite le même… destin.
Au programme :
Billeterie : https://www.maisondelaradioetdelamusique.fr/evenement/beethoven-symphonie-ndeg5-kristiina-poska?s=773137
Je n'ai aucun intérêt ...