Une invitation gratuite à demander en commentaire pour LA 1ère personne (sans carton et non accro aux seules gratuités) inscrite après moi2 pour voir ces expos
Plongée dans la photographie du 19e siècle, à l'aube de sa diffusion
hors des frontières de l'Europe. Des trésors des collections
photographiques du musée, enfin révélés !
De nombreux lieux dans le monde sont devenus accessibles par la photographie
dès son invention, en 1839. Dès les années 1840, les chambres noires sont emportées
sur les navires des expéditions officielles, scientifiques ou militaires, et franchissent
les frontières de l’Europe. Du Mexique au Gabon, la caméra sert le goût de l’époque
pour la description archéologique, géographique et la curiosité pour les modèles
rencontrés. Dans la seconde moitié du 19ème siècle, la photographie est employée
pour explorer tous les espaces du globe. Une soif d’images notamment nourrie
par la conquête coloniale européenne.
Immersion en plein cœur du monde aborigène. Songlines nous emmène
à travers le désert australien sur la piste des Sept Sœurs, l’un des
récits légendaires les plus populaires du pays.
Depuis des millénaires, la mémoire des populations aborigènes d’Australie se propage
à travers les paroles des anciens, des histoires que l’on conte en peinture, en cérémonies
et en chants. Transmises de génération en génération, ces songlines – littéralement
« chants des pistes »* – guident les pas des Aborigènes à travers le territoire et tout
au long de leur vie, comme une véritable carte. Bien plus que des récits légendaires,
ce sont de véritables corridors de savoirs, des chemins tracés au fil des millénaires
qui renferment les règles fondamentales de la cohabitation sociale, et des connaissances
écologiques, astronomiques ou géographiques essentielles à la survie.
Hommage au parcours de l'artiste américaine Anne Eisner, à travers
une sélection d'œuvres inspirées de son séjour au Congo et récemment
acquises par le musée du quai Branly - Jacques Chirac.
En 1946, l’artiste américaine Anne Eisner (1911-1967) se rend pour la première fois
en Afrique. Elle voyage aux côtés de son futur époux, Patrick Putnam (1904-1953).
Cet anthropologue de formation a établi au début des années 1930 un établissement
hôtelier dénommé « camp Putnam » à Epulu, au nord-est de la colonie belge du Congo.
C’est là que vit Anne Eisner pendant sept ans, dans le voisinage des communautés Mbuti.
Durant son séjour, elle apprend à mieux connaître la forêt équatoriale de l’Ituri et
documente la vie de ses habitants.