Cultures Clubs imagine une fiction sportive où plusieurs athlètes du futur vivent dans un monde où l’utopie/dystopie libérale l’aurait emportée. S’il est plus facile d’imaginer la fin du monde que la fin du capitalisme, autant imaginer un capitalisme qui serait arrivé à sa finalité et où les rapports humains seraient réglés par un marché enfin devenu parfait. Aux sons des corps et des machines, où tout, de l’amour au travail, est sport, ce monde dessine un sprint extasié vers un bonheur où ne subsiste qu’une seule et unique pulsation martelée, la dictature d’un instant permanent menant à l’inertie.
p
p