Niki de Saint Phalle (1930-2002) est l’une des artistes les plus populaires du milieu du XXe siècle, à la fois plasticienne, peintre, sculptrice et réalisatrice de films. Si elle est surtout connue du grand public pour ses célèbres « Nanas », son oeuvre s’impose aussi par son engagement politique et féministe et par sa radicalité. Le Grand Palais propose la plus grande exposition consacrée à l’artiste depuis vingt ans et un nouveau regard porté sur son travail.

Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais

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 Cette exposition évoque le goût de Clemenceau pour la chasse et les longues randonnées, tout comme l’équitation, l’épée, le cyclisme, la gymnastique et le tir. Médecin de formation, il attache une grande importance à la bonne santé du corps. Clemenceau encouragera notamment la création de fédérations et répond à l’appel de Paschal Grousset pour la création de la Ligue nationale de l’éducation physique (1888) dans l’enseignement. Il portera aussi un intérêt aux Jeux Olympiques quand il sera au pouvoir : en débloquant des fonds pour la délégation française, ou en incitant en 1919 à la candidature de Paris aux Jeux de 1924.

Le parcours de l’exposition-focus présente la diversité des activités physiques de Clemenceau. Enfant, il est initié au tir, à l’équitation et à l’escrime, arts dans lesquels il excelle. Parti aux États-Unis après ses études de médecine, Clemenceau enseigne, entre autres, l’équitation. L’homme politique et de presse fréquente assidûment les salles d’armes et pratique le duel. À partir de 1900, en raison de ses problèmes de santé, Clemenceau doit se soumettre, six jours par semaine à une gymnastique matinale. Cette activité régulière lui permettra de conserver une énergie physique et morale exceptionnelle, notamment pendant la Première Guerre mondiale.